WeWork est une entreprise américaine de mise à disposition de locaux et de services de coworking. Elle compte plus de 250 000 membres, issus de différents secteurs d'activité, et séduit en grande majorité les grands groupes. Ses bureaux partagés, mélange de petits espaces privés et de vastes parties communes, sont répartis dans plus de 250 lieux et 70 villes. Si certains économistes s’interrogent sur la viabilité du modèle économique sur un marché immobilier délicat, WeWork revendique une valorisation de 20 milliards de dollars.

Après une chute spectaculaire, le charismatique ex-patron de WeWork est de retour. Il parle d’investissement, de startup, de surf et de Masayoshi Son.

Devenu encombrant avant l’introduction en Bourse de sa société de bureaux partagés WeWork, le PDG a dû démissionner. Quelques jours plus tôt, le Wall Street Journal dressait son portrait. Décapant.

Les fonds de capital-risque subventionnent pendant des années des entreprises déficitaires comme WeWork et Uber. Et ils retirent généralement leurs billes avant que cela ne tourne mal, prévient ce journaliste américain, qui met en garde contre la stratégie du conglomérat japonais SoftBank. Présence d'un second article intutlé "La descente aux enfers de WeWork".

Valorisé à 16 milliards, "We Work", numéro un mondial des espaces partagés, révolutionne la vie de bureau.