Analyse, en mai 2014, des degrés de contrainte et de liberté qui s'offre à l'entrepreneur français qui souhaite travailler à son compte. Selon qu'il opte pour le commerce associé ou la franchise, les aptitudes à mettre en oeuvre seront différentes. L'entreprise indépendante lui demandera d'accepter d'être seul maître à bord, tant dans l'activité que face aux risques. L'entreprise en franchise lui permettra d'évoluer plus sereinement grâce à l'appui et l'expérience du réseau mais pourra aussi limiter ses initiatives. Les principales satisfactions de l'entrepreneur : les franchisés auraient 2 fois moins de chance de faire faillite ; le secteur de la franchise (1719 franchiseurs) a généré 47,4 millions d'euros en 2013.