Un salon de musique, en 1800. On y écoute le quatuor en ut majeur de Locatelli. Un des auditeurs bat la mesure. Cela indispose son voisin, un jeune homme triste et pauvre, qui lui donne un coup de poing dans les côtes. L'affront doit être lavé. Ainsi, avec un de ces duels qui avaient déjà guidé d'Artagnan vers les Mousquetaires, naît une amitié aussi étrange que vraisemblable. Elle unira pendant vingt volumes Jack Aubrey, lieutenant puis capitaine de la Royal Navy à l'époque des guerres napoléoniennes, et le Dr Stephen Maturin, chirurgien, ornithologue et agent secret de Sa Très Gracieuse Majesté. Leurs aventures les mènent sur toutes les mers du globe et forment une suite qui est l'un des plus étonnants romans-fleuves du XXe siècle. C'est aussi l'oeuvre pleine de finesse et d'humour d'un très grand écrivain qui réussit le miracle de signer des romans de mer où tout ce qui se passe à terre fascine.

C'est en 1969, avec Maître à bord, que Patrick O'Brian inaugure les aventures du capitaine Jack Aubrey et du médecin Stephen Maturin, dans le contexte des guerres napoléoniennes. Le présent volume réunit les quatre premiers romans de cette saga maritime.

C'est en 1969, avec Maître à bord, que Patrick O'Brian inaugure les aventures du capitaine Jack Aubrey et du médecin Stephen Maturin, dans le contexte des guerres napoléoniennes.

C'est en 1969, avec Maître à bord, que Patrick O'Brian inaugure les aventures du capitaine Jack Aubrey et du médecin Stephen Maturin, dans le contexte des guerres napoléoniennes. ©Electre 2021

La suite des aventures du capitaine Jack Aubrey et du médecin Stephen Maturin, dans le contexte des guerres napoléoniennes. ©Electre 2021

Voici le sixième volet des aventures de Jack Aubrey et de son complice le médecin Stephen Maturin. Tout le monde croyait Jack Aubrey disparu, englouti dans les mers australes. Tous, à l'exception de Sophie, son épouse, et de l'Amirauté britannique. Et elles avaient bien raison...

Après avoir mené à bien sa dernière mission, Jack Aubrey se voit convaincre par un gentleman de sa connaissance d'investir une partie de ses (maigres) avoirs dans une opération financière. Inutile de dire que les organisateurs de l'opération ont cru repérer en Aubrey le pigeon dont ils font leur ordinaire. Mais ce dernier n'est pas décidé à se laisser plumer sans réagir. Avec l'aide précieuse de son ami Stephen Maturin, il s'enfonce dans les bas-fonds londoniens pour tenter de se faire justice. (Bibliotéca Magazine)

Jack Aubrey a été surnommé commodore, Stephen Maturin doit faire face à une situation familiale désastreuse : Brigid sa petite fille a sombré dans l'autisme et sa femme a quitté la maison... Mais Aubrey et Maturin sont de nouveau envoyés en mission en Irlande, que Napoléon se prépare à envahir. (Livres Hebdo)

Jack Aubrey est nommé commodore. Il est chargé de détruire les navires que l'on construit pour Napoléon échappé de l'île d'Elbe. (Livres Hebdo)

La suite des aventures de Jack Audrey et de son complice Maturin. Napoléon en exil, la paix revenue en Europe, Jack Audrey peut enfin prendre la mer pour le Chili afin d'aider le pays, indépendant depuis peu, à se constituer une marine. Il prend la tête de la Surprise mais le navire entre en collision avec un autre et rien ne se passe comme prévu. (Livres Hebdo)

Pour un capitaine de vaisseau, se voir chassé de la Royal Navy - fût-ce par suite d'une terrible injustice - est le sort le plus cruel, le plus indigne qui soit. C'est pourtant bien ce qu'il est advenu à Jack Aubrey. Même l'armement de la frégate Surprise que Jack aime tant et que Stephen a pu racheter à la marine, n'est pour lui qu'un palliatif. La Surprise est armée en corsaire - ou, plus précisément en "lettre de marque", ce qui revient au même mais est moins déshonorant pour un ancien officier de marine. C'est le début d'une série de hauts faits qui pourraient laisser entrevoir la réintégration de Jack Aubrey dans la Liste navale. Mais les dédales du monde politique sont semés d'embûches. (Bibliotéca Magazine).

Grâce aux succès remportés par sa "Surprise", transformée en navire corsaire,Jack Aubrey retrouve la faveur de l'Amirauté : on l'envoie vers l'Amérique du Sud, où Stephen Maturin est chargé d'encourager et de favoriser, dans le plus grand secret, l'agitation des colonies espagnoles. Mais les secrets sont fragiles, et les traîtres pleins d'activité. Pour donner le change, on confie à Aubrey une tout autre mission : se rendre en toute hâte avec la "Diane", qu'il vient d'arracher aux Français, aux Indes orientales, où l'envoyé plénipotentiaire qu'il embarque doit prendre de vitese - ou d'efficacité - une délégation française venue négocier un traité avec l'un des sultans de ces îles innombrables. (Bibliotéca Magazine)

Aubry et Maturin font route vers l'Australie. Mais cette destination leur réserve bien des surprises. C'est que, malgré l'intérêt passionné que ce territoire quasi inexploré suscite chez Maturin, une colonie pénitentiaire n'est pas l'escale rêvée pour deux êtres aussi profondément humains que nos deux héros. D'autant qu'ils voudraient bien sauver d'un sort épouvantable certains convicts... qui ne sont autres que d'anciens compagnons de bord. (Bibliotéca Magazine)

Jack Aubrey quitte enfin les rivages de l'Australie et ses sinistres colonies pénitentiaires. A bord de sa chère Surprise, il retrouve le grand large, son véritable élément. Mais très rapidement, il se rend compte que ses relations avec l'équipage ne sont pas ce qu'elles devraient être. Menant patiemment son enquête, Aubrey finit par découvrir l'origine du malaise : la Surprise abrite un passager clandestin. Et pis encore : une passagère... (Bibliotéca Magazine)

Jack Aubray et S. Maturin sont lancés sur la frégate Surprise qui vieillit tout comme eux, à la poursuite d'un navire corsaire sous pavillon américain en "grande mer su Sud"... (Livres Hebdo)

De retour à Malte après son combat victorieux contre les Turcs et la prise de Marga aux Français, le commandant Jacques Aubrey est privé de sa frégate, la Surprise, qui a besoin d'importantes réparations. Stephen Maturin et lui profitent donc à La Valette d'une permission bien méritée. (Livres hebdo)