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Anderson, Paul Thomas (1970-....)

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Auteurs
Retour sur le premier long métrage, en 1996, du réalisateur Paul Thomas Anderson, "Hard Eight" qui se distingue déjà par une direction d'acteur impliquée et maîtrisée.
Numéros de page :
pp.86-87

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Bulletin : Marianne 1295
Paul Thomas Anderson signe un film fantasque et attachant sur les péripéties de deux jeunes Californiens des années 1970. Un concentré de drôlerie et de mélancolie qui inaugure en majesté l'année cinéma.
Numéros de page :
pp.74-75

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Il s'est astreint à peindre avec les orteils pour "My Left Foot", à dépecer des animaux pour "Le Dernier des Mohicans", à forer à la recherche de pétrole pour "There Will Be Blood"... Depuis ses débuts, Daniel Day-Lewis pousse la pratique de son art à l'extrême, s'appropriant ses personnages par une maîtrise totale de leurs gestes. Un investissement si éprouvant que le Britannique espace les tournages et pense à chaque fois raccrocher. A 60 ans, son rôle d'un grand coututier dans "Phantom Thread" pourrait lui valoir un quatrième Oscar. Et une retraite définitive... ou pas.
Numéros de page :
pp.31-37

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Paul Thomas Anderson pose sa caméra dans le monde de la haute couture. Et filme un génie et sa muse. Mais "Phantom Thread" déjoue brillamment nos attentes... Sommaire. Mange-moi, la critique du film par François Bégaudeau. "Daniel Day-Lewis est un bel homme et j'aime le voir bien habillé", interview avec le réalisateur.
Numéros de page :
pp.48-55

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Bulletin : Première 482
Le plus grand acteur du monde fait ses adieux au cinéma. Encore ? ! Oui, mais cette fois c'est sérieux. "Phantom Thread", le film de Paul Thomas Anderson, l'a mis K.-O. Logique après tout : c'est l'histoire d'un artiste génial épuisé par son désir de perfection.Toute ressemblance avec Daniel Day-Lewis ne serait donc pas un coïncidence. Sommaire. Victime de la mode. "Sa retraite, je ne préfère pas penser", Paul Thomas Anderson. The Master.
Numéros de page :
pp.42-49

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"Phantom Thread" n'est ni un film sur la mode, ni l'autoportrait de son auteur en créateur obsessionnel, ni une énième variation sur le thème du coup de foudre qui se transforme en amour écrasant. Il y a de tout cela, bien sûr : la précision avec laquelle Paul Thomas Anderson restitue l'univers d'une maison de couture londonienne des années 50 et le travail auquel on s'y livre rappelle naturellement le penchant pour l'obsession du cinéaste. Mais le coeur du film se trouve ailleurs. Sommaire. Film fantôme. Trois cimes.
Numéros de page :
pp.20-22, 24-27

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Paul Thomas Anderson est un des cinéastes les plus surprenants du moment. Il embrasse les milieux, les époques, les genres et, tout en poursuivant le même type de personnage obstiné, dominateur, masochiste, propose un éventail stylistique aux nuances infinies. Qui aurait pu prévoir que le cinéaste allait retrouver le rugueux Daniel Day-Lewis de "There Will Be Blood" sous les traits d'un couturier raffiné de la gentry des années 1950 ?
Numéros de page :
pp.6-13

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Bulletin : L'Obs 2983
Après le vénéneux "Phantom Thread", Paul Thomas Anderson revient avec le radieux "Licorice Pizza", romance dans le Los Angeles de 1973. Rencontre.
Numéros de page :
pp.126-127

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Bulletin : Première 525
A rebours de ses monolithes énigmatiques des dernières années, PTA signe son oeuvre la plus accessible et lumineuse, en racontant une romance enivrante dans la Californie de 1973. Beau comme un premier film tourné avec le savoir-faire d'un grand maître.
Numéros de page :
pp.92-93

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Date parution pério
2023-04-01
La sortie de "The Fabelmans" (Steven Spielberg, 2022) s'inscrit dans le prolongement de deux productions récentes ("Licorice Pizza", de Paul Thomas Anderson, en 2021, et "Armageddon Time", de James Gray, en 2022) réunies par une démarche commune. À la différence de Quentin Tarantino qui avec "Once Upon a Time in... Hollywood" (2019) fantasmait une époque et un univers qu'il n'a pas directement connu, Anderson, Gray et Spielberg ont choisi de façonner la fiction à partir de souvenirs de leur propre enfance ou de celle de leurs proches.
Numéros de page :
pp.58-60

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Date parution pério
2022-01-01
Ayant emprunté des chemins de traverse aberrants pour ne raconter rien d'autre que la naissance d'un amour, "Licorice Pizza" vous laisse dans un état de sidération douce et paradoxale. Douce en raison de la douceur du film lui-même, germée dans "The Master", "Inherent Vice" et "Phantom Thread", mais se déployant ici, sous les atours d'une romance légère et vintage, avec une limpidité nouvelle et bienfaisante - osons ce cliché de distributeur de films : on en sort heureux, léger, reconnaissant. Sommaire. Des joues pâles et rosissantes, la critique du film.
Numéros de page :
pp.12-23

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Bulletin : Positif 731
Date parution pério
2022-01-01
Il faut le rappeler : Paul Thomas Anderson est né il y a 51 ans à Studio City, quartier bien nommé de Los Angeles. Devenu l'un des cinéastes américains les plus doués de sa génération, il continue à faire de la mégalopole californienne son terrain de jeu préféré. Après un détour par la Grande-Bretagne avec "Phantom Thread" (2017), "Licorice Pizza" le ramène à sa terre, aux décors de "Boogie Nights" (1997), "Magnolia" (1999) ou encore "Inherent Vice" (2014). En toute logique, c'est donc à Los Angeles que nous avons retrouvé Paul Thomas Anderson pour évoquer ce neuvième long métrage.
Numéros de page :
pp.14-23