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Gray, James (1969-....)

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Qu'il explore le film noir - "The Yards" et "La nuit nous appartient" -, le récit d'aventures picaresques - "The Lost City of Z" - ou, ici, la science-fiction, James Gray est un cinéaste d'une formidable cohérence thématique. Car son oeuvre épouse souvent la trame classique, au sens de la tragédie grecque, d'une quête du père et, plus fondamentalement, des origines.
Numéros de page :
pp.5-8, 10-16

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Auteurs
Bulletin : Première 534
Dans un film à forte teneur autobiographique, James Gray raconte comment le rêve américain a été atomisé par l'élection de Ronald Reagan. Un sujet puissant raconté sous la forme d'un beau drame feutré.
Numéros de page :
pp.68-69

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Auteurs
James Gray réalise avec "The Lost City of Z" un somptueux film d'aventures, en s'attachant aux pas de Percy Fawcett, cet Anglais hanté par une cité perdue dans la jungle. Le réalisateur est à l'image de l'Amazone, qu'il filme splendidement dans "The Lost City of Z" : plein de remous et de courants. Portrait.
Numéros de page :
pp.68-75

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Titres recensés : "A bras ouverts" de Philippe de Chauveron et "Retour à Forbach" de Régis Sauder qui composent le dossier "Bienvenue chez vous" ; "Pris de court" d'Emmanuelle Cuau ; "L'autre côté de l'espoir" de Aki Kaurismäki ; "The Lost City of Z" de James Gray ; "Patients" de Grand Corps Malade et Mehdi Idir ; "Sage femme" de Martin Provost ; "Félicité", d'Alain Gomis ; "L'Opéra", de Jean-Stéphane Bron.
Numéros de page :
pp.111-118

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Bulletin : So film 91
Avec "Armageddon Time", en salles le 14 septembre, James Gray fait son "400 Coups". Le New-Yorkais born and raised frappe à la porte de la compétition à Cannes avec son film le plus autobiographique, tourné dans le Queens et sur lequel plane l'ombre du magnat Trump. Jordan Mintzer - auteur d'un livre d'entretiens avec le cinéaste - s'est faufilé sur le tournage en pleine pandémie. Paparazzi, tests Covid et post-production en live... Récit exclusif derrière l'épaule d'un des grands maîtres en activité.
Numéros de page :
pp.98-105

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Avec "Ad Astra", James Gray réalise un film de science-fiction intimiste pour proposer une somptueuse méditation sur la solitude.
Numéros de page :
pp.70-71

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Un homme part au bout de l'univers pour sauver du même coup sa vie et l'humanité. Avec "Ad Astra", son septième film seulement en vingt-cinq ans, James Gray réussit une oeuvre aussi ample qu'intimiste. Un chef-d'oeuvre. Sommaire. Attraction des astres. "Plus on se fuit et plus on se trouve face à soi-même", entretien avec James Gray. Un dieu triste.
Numéros de page :
pp.14-20, 22, 24-26

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Annoncé comme une superproduction, mort et ressuscité, "The Lost City of Z" est devenu l'un des films d'aventure les plus singuliers de l'histoire du genre. Artistiquement, James Gray ne s'était sans doute jamais autant mis en danger. Le metteur en scène ayant quitté New York, au cinéma comme dans la vie, c'est à Los Angeles que nous l'avons joint au téléphone. Critique ("Explorer le monde, encore") et interview ("Et nous sommes devenus le film").
Numéros de page :
pp.6-13

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A l'aune des films couronnés aux Oscars en 2017, le cinéma américain prouve qu'il sait encore parler et faire parler de lui grâce à ses héros.
Numéros de page :
pp.68-70
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Bibliothèque des Littératures d'Aventure Libre accès 791.44.071.1/GRA Disponible
Année de parution :
2012
Editeur :
Importance matérielle :
1 vol. (240 p.) : ill. en noir et en coul., mus., jaquette ill. : 29 cm
9791090172005
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Date parution pério
2022-11-05
S’il vit aujourd’hui à Los Angeles, le cinéaste de 53 ans ne peut oublier New York. C’est là qu’il a tourné six de ses huit films, dont « Armageddon Time », en salle le 9 novembre 2022. Pour ce dernier, très autobiographique, il convoque les thèmes qui ont marqué ses longs-métrages : la relation père-fils, la figure d’une mère aimante, la mélancolie…
Numéros de page :
pp.47-53

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Bulletin : Marianne
Date parution pério
2022-11-10
Deux collégiens fraternisent dans le New York métissé du début des années 1980, alors que Ronald Reagan est sur le point d’être élu président. Dans « Armageddon Time », James Gray revisite son adolescence et signe un film magistral sur son pays natal, qu’il observe avec une amère lucidité.
Numéros de page :
pp.68-70