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Andersson, Roy (19..-....)

Article

Titres recensés : "Trois souvenirs de ma jeunesse" d'Arnaud Desplechin ; "Taxi Téhéran" de Jafar Panahi ; "Caprice" d'Emmanuel Mouret ; "Jauja" de Lisandro Alonso ; "Everything Will Be Fine" de Wim Wenders ; "Un pigeon sur sa branche philosophait sur l'existence" de Roy Andersson ; "Un jeune poète" de Damien Manivel ; "Examen d'Etat" de Dieudo Hamadi.
Numéros de page :
8 p. / p. 107-114

Article

Auteurs
Garson, Charlotte Auteur du texte
"Un Pigeon perché sur une branche philosophait sur l'existence", sketches drôles et noirs primés par le Lion d'or à Venise, affirme la subversion nordique de Roy Andersson.
Numéros de page :
1 p. / p. 59

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Avec "Nous, les vivants", Roy Andersson, 64 ans, poursuit une recherche esthétique et poétique amorcée dans "Chansons du deuxième étage". Ailleurs, entre Tati et Bunuel.
Numéros de page :
1 p. / p. 36

Article

Rares sont les cinéastes d'aujourd'hui qui préfèrent transmettre une vision du monde en termes visuels, plutôt que de chercher à raconter une histoire le plus efficacement possible. Roy Andersson est de ceux-là.
Numéros de page :
/ p. 25-31

Article

"Nous les vivants" de Roy Anderson est une comédie en tableaux volontairement verdâtres où s'agite la pauvre humanité sans dieu.
Numéros de page :
1 p. / p. 25

Article

Un film incroyable sur l'absurdité du monde. Avec des images à la perfection glacée qui louchent vers le burlesque...
Numéros de page :
/ p. 106-107

Article

Auteurs
Bassan, Raphaël Auteur du texte
Date parution pério
2015-05-01
Le hasard des sorties fait se succéder sur les écrans le Lion d'Or du Festival de Venise 2014, "Un pigeon perché sur une branche" du Suédois Roy Andersson, et l'Ours d'Or de la Berlinale 2015, "Taxi Téhéran" de l'Iranien Jafar Panahi. Contrairement au palmarès de nombreux festivals, ces films ne sont ni consensuels ni d'un abord aisé.
Numéros de page :
3 p. / p. 313-315

Article

Auteurs
Logette, Lucien Auteur du texte
Date parution pério
2015-05-16
Reprenons la conclusion de notre dernier article sur Roy Andersson, à propos de son film "Nous, les vivants" : "Souhaitons simplement ne pas devoir attendre sept autres années pour poursuivre la reconnaissance de son territoire." C'était en décembre 2007, il y aura bientôt sept ans et demi. Le cinéaste suédois est décidément un artiste à fructification lente - quoique régulière - et réfléchie. Rien chez lui d'incontrôlé, de flou, qui sente l'improvisation ou l'impensé.
Numéros de page :
1 p. / p. 31