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Taxi Téhéran

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Titres recensés : "Trois souvenirs de ma jeunesse" d'Arnaud Desplechin ; "Taxi Téhéran" de Jafar Panahi ; "Caprice" d'Emmanuel Mouret ; "Jauja" de Lisandro Alonso ; "Everything Will Be Fine" de Wim Wenders ; "Un pigeon sur sa branche philosophait sur l'existence" de Roy Andersson ; "Un jeune poète" de Damien Manivel ; "Examen d'Etat" de Dieudo Hamadi.
Numéros de page :
8 p. / p. 107-114

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Abbas Kiarostami et Jafar Panahi (qui fut son assistant) sont les figures de proue du cinéma iranien contemporain. Tous deux ont rencontré des difficultés avec les autorités de leur pays. Kiarostami, dans un mouvement centrifuge, a préféré, depuis quelques années, tourner à l'étranger, d'abord en Italie puis au Japon. Panahi, par une démarche centripète, a choisi de rester travailler en Iran après avoir été condamné à six ans de prison (qu'il n'a pas effectués) et à vingt ans d'interdiction de filmer.
Numéros de page :
8 p. / p. 6-13

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Auteurs
Mérigeau, Pascal Auteur du texte
Le régime iranien l'a emprisonné, lui a interdit de réaliser, et pourtant le cinéaste de "Sang et Or" continue de filmer, même au volant d'un taxi. Enquête.
Numéros de page :
3 p. / p. 104-106

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Auteurs
Bassan, Raphaël Auteur du texte
Date parution pério
2015-05-01
Le hasard des sorties fait se succéder sur les écrans le Lion d'Or du Festival de Venise 2014, "Un pigeon perché sur une branche" du Suédois Roy Andersson, et l'Ours d'Or de la Berlinale 2015, "Taxi Téhéran" de l'Iranien Jafar Panahi. Contrairement au palmarès de nombreux festivals, ces films ne sont ni consensuels ni d'un abord aisé.
Numéros de page :
3 p. / p. 313-315

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Auteurs
Baurez, Thomas Auteur du texte
Date parution pério
2015-04-01
Avec "Taxi Téhéran", couronné d'un Ours d'or au Festival de Berlin, le cinéaste Jafar Panahi défie une nouvelle fois le régime iranien qui lui interdit de faire du cinéma. Récit d'un calvaire.
Numéros de page :
2 p. / p. 62-63