Les archives courantes ne peuvent pas attendre. Faute de leur appliquer un traitement immédiat, l'entreprise s'expose à des risques, coûts supplémentaires ou pertes d'information aux conséquences redoutables. Dans ce contexte, le support électronique a de nombreux avantages.

Il n'y a pas que la publicité pour nous renvoyer des images des entreprises. Il n'y a pas que ce qui sort d'une chaîne de production ou de service pour générer de la valeur.

Depuis le milieu des années 80, les entreprises ont pris conscience de l'importance de leur mémoire. Les archives ne sont plus uniquement conservées par obligation légale, mais également par vocation patrimoniale.

Eclairage, fin 2010, sur l'évolution du métier d'archiviste d'entreprise, un métier autrefois vu comme vieillot et qui est devenu essentiel au fonctionnement des entreprises. L'archiviste d'entreprise, ou records manager, est le garant de la conformité des documents conservés avec la réglementation, évitant amendes et redressements. La montée du numérique représente pour les records managers de nouveaux enjeux sur la conservation des documents.

Le point, en juin 2011, sur la place de premier plan de l'archivage dans la politique de gestion de l'information et de maîtrise des risques des entreprises françaises. Ces dernières, pour faire face à une augmentation continue du volume de leurs données, optent de plus en plus pour la dématérialisation de leurs documents, véritable tendance de fond du monde de l'entreprise.

La valeur juridique des archives électroniques d’entreprise constituées de scans de documents papier, ainsi que leurs conditions d’archivage, feront l'objet de cet article. Des réponses concrètes seront fournies aux questions pratiques.

Après avoir dressé brièvement un panorama des institutions documentaires et archivistiques actives dans le domaine charbonnier en région liégeoise, cet article se penche sur le contexte de la création du CLADIC, centre de documentation et d'archives de Blegny-Mine.

Préserver un élément du patrimoine industriel requiert d’abord de recueillir un maximum d’informations à son sujet afin d’en retracer l’histoire. L’auteur propose de faire un bref tour d’horizon de la multiplicité des sources d’information : consultation des institutions officielles et des administrations avec lesquelles l’entreprise était en contact, localisation de plans cadastraux, identification de l’existence d’archives d’entreprise ou de correspondance,…

Le SAICOM, centre d’archives privées actif dans la sauvegarde des archives industrielles et minières du bassin du Couchant de Mons, mais également du Centre et de Charleroi, possède une vaste collection d’archives parmi lesquelles des livrets et carnets ouvriers ainsi que des cartons-comptes occupent une place importante, permettant de retracer les carrières des ouvriers qui ont façonné ce pays.