Réflexion, en décembre 2010, sur les enjeux de la dématérialisation des appels d'offres aux marchés publics pour les PME françaises, à l'approche de l'échéance de janvier 2012. Un bouleversement pour les entreprises encore plongées dans la culture du papier, et qui manquent encore de ressources informatiques, logicielles et des connaissances nécessaires. La dématérialisation des appels d'offres permet pourtant aux entreprises de réaliser des gains de productivité et des gains organisationnels.

Analyse, du recours de plus en plus fréquent à la dématérialisation par les directions des ressources humaines dans les entreprises françaises, avec en ligne de mire un repositionnement plus stratégique et moins administratif. L'heure est à la dématérialisation des documents à valeur légale et de la formation. Même si les obstacles techniques et législatifs sont en train de tomber, l'attachement au papier demeure important, de même que les craintes entourant la sécurité des informations.

Le point, en juin 2011, sur les défis des entreprises françaises pour inculquer à leurs salariés les usages de la dématérialisation. Lorsque les salariés ne sont pas accompagnés, l'usage du papier tend à perdurer parallèlement au flux de documents dématérialisés. Le challenge : rationaliser ces comportements, afin de tirer pleinement partie des solutions qui constitueront de plus en plus un véritable avantage concurrentiel. Reste que le "bureau sans papier" n'est pas pour demain : certaines tâches continueront de nécessiter impression et annotations.

Analyse, en juin 2011, des avancées de la numérisation dans le monde de l'entreprise, en France. Si la dématérialisation est aujourd'hui bien ancrée dans les pratiques, à la fois du côté des différents services et dans la fonction informatique, les entreprises continuent néanmoins à produire des documents papier, à les signer pour ensuite les numériser tout en conservant l'original. L'échange d'un document numérique entre deux entreprises est loin d'être simple, et demande un travail préparatoire afin que les systèmes puissent communiquer.

Le point, en juin 2011, sur la place de premier plan de l'archivage dans la politique de gestion de l'information et de maîtrise des risques des entreprises françaises. Ces dernières, pour faire face à une augmentation continue du volume de leurs données, optent de plus en plus pour la dématérialisation de leurs documents, véritable tendance de fond du monde de l'entreprise.

Décryptage, en octobre 2011, du développement de la signature électronique dans les entreprises françaises, avec l'explosion de la dématérialisation des documents. L'atout phare de cette signature : elle répond à la problématique de l'authentification des documents numériques. Comment ? En scellant les documents via un algorithme attaché à un seul et unique émetteur. Une solution qui se développe aujourd'hui pour le règlement des factures, mais qui demeure soumise à un important frein culturel.

Eclairage sur les missions et les défis du ″records manager″ ou archiviste dans les entreprises françaises du fait du volume croissant des documents électroniques et papier qui nécessite la mise en place d'un système d'archivage fiable. Une fonction issue de la documentation et à la croisée des chemins, dont les missions consistent à organiser, hiérarchiser et mettre en place un système de classement de l'information, avec des préoccupations légales, managériales, d'efficience et de qualité.

Arguments en faveur de l'adoption de la dématérialisation des documents en vue de l'archivage électronique, dans les petites et moyennes entreprises, alors que ces dernières ont été longues à franchir le pas de crainte d'un coût élevé, de la complexité de la tache et du risque informatique. De nombreuses solutions sont disponibles sur le marché, dont celles en mode SaaS (software as a service), particulièrement adaptées aux entreprises n'ayant pas de service informatique. De plus, la législation a devancé la pratique.

Engouement croissant des entreprises françaises pour les solutions simples qui automatisent les flux de facturation. Une automatisation qui supprime la nécessité de saisir manuellement les factures et permet un gain de temps et d'énergie manifeste. Autres avantages : des processus facilités dans la comptabilité et l'archivage et un ROI (retour sur investissement) rapide et démontré. Au-delà de l'attraction éphémère pour la nouveauté technologique, il est question de transformation en profondeur de l’environnement de travail.

Retour, en 2016, sur les grandes étapes de la généralisation de la dématérialisation des documents dans les entreprises françaises. Un processus lancé il y a une vingtaine d'années, avec dans un premier temps les déclarations fiscales et sociales informatisées via le système EDI (échange de données informatisé) et qui continue son intégration dans le monde de l'entreprise grâce désormais à la gestion électronique des documents (GED). A la clé pour les sociétés : des gains d'efficacité et de productivité, ainsi qu'un intérêt écologique.