Des chercheurs scrutent le cerveau des psychopathes pour trouver une explication. D'autres pensent que l'on peut entraîner un cerveau à plus de compassion. Des réflexions fascinantes.

Marqué par les conflits qui hantent nos mémoires, l'écrivain philosophe Jérôme Ferrari interroge dans ses romans la question du mal. Cette obsession est nourrie par la lecture de Leibniz qu'il considère comme le premier penseur à y avoir réfléchi.

La célèbre expérience de Stanford, où, invités à jouer prisonniers ou gardiens, des étudiants sombraient aussitôt dans la violence, était truquée. Un jeune chercheur français dévoile cette rocambolesque imposture.

Dans une époque où les croyances prospèrent, comment s'étonner que le diable et ses légions reprennent du poil de la bête ? La question de l'existence du diable agite l'Eglise catholique», titrait un grand quotidien du matin, en juin 2017, rapporte Robert Kopp dans un article où il décrit «les milles visages du diable» : « pour le supérieur général des jésuites, le père vénézuélien Arturo Sosa, Satan n'est qu'un symbole. Une ligne, toutefois, qu'un autre jésuite, le pape François, ne semble pas partager ». Sommaire. Les mille visages du diable. Rémi Brague.