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Burning

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C'est un des plus grands réalisateurs du moment. Le Coréen Lee Chang-Dong revient aux affaires après huit ans de silence, et signe avec "Burning" un chef-d'oeuvre que des visions répétées n'épuiseront pas. On l'a croisé à Paris... Sommaire. Lee Chang-Dong. "Je suis plus attiré par les faibles". La grande faim. Le secret de Lee.
Numéros de page :
pp.56-67

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Huit ans après l'émouvant "Poetry", Prix du scénario à Cannes, l'auteur à multiples casquettes - romancier, cinéaste et ancien élu politique - Lee Chang-Dong revient avec "Burning", une éblouissante éducation sentimentale édifiée en thriller métaphysique. Rencontre avec le maître incontesté du drame coréen.
Numéros de page :
pp.16-18

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Huit ans ont passé depuis "Poetry" et Lee Chang-dong revient avec une grande faim de cinéma. A l'instar de son héroïne, la pétillante Haemi (incarnée par la débutante Jong-seo Yun), il fait sienne une certaine théorie de l'existence, partagée entre «little hunger» (somme toute, un simple instinct de survie) et "great hunger" (une impulsion, une curiosité poussant à expérimenter les grandes énigmes de la vie). Sommaire. Traces brûlées. Mystère, entretien avec Lee Chang-Dong.
Numéros de page :
pp.20-24

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Avec "Le Poirier sauvage" (voir n° 689-690, juillet-août 2018), "Burning" fut l'un des grands films de la compétition cannoise et, comme celui de Nuri Bilge Ceylan, ignoré d'un jury aveugle sur les pouvoirs du cinéma. Après "Oasis", "Secret Sunshine" et "Poetry", Lee Chang-dong s'impose, une fois de plus, comme l'un des principaux auteurs contemporains. En empruntant le schéma du thriller, il entreprend un voyage existentiel entre la réalité et l'illusion autour de trois personnages qui forment un triangle amoureux.
Numéros de page :
pp.18-23