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Lee, Chang-dong (1954-....)

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C'est un des plus grands réalisateurs du moment. Le Coréen Lee Chang-Dong revient aux affaires après huit ans de silence, et signe avec "Burning" un chef-d'oeuvre que des visions répétées n'épuiseront pas. On l'a croisé à Paris... Sommaire. Lee Chang-Dong. "Je suis plus attiré par les faibles". La grande faim. Le secret de Lee.
Numéros de page :
pp.56-67

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Huit ans après l'émouvant "Poetry", Prix du scénario à Cannes, l'auteur à multiples casquettes - romancier, cinéaste et ancien élu politique - Lee Chang-Dong revient avec "Burning", une éblouissante éducation sentimentale édifiée en thriller métaphysique. Rencontre avec le maître incontesté du drame coréen.
Numéros de page :
pp.16-18

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Huit ans ont passé depuis "Poetry" et Lee Chang-dong revient avec une grande faim de cinéma. A l'instar de son héroïne, la pétillante Haemi (incarnée par la débutante Jong-seo Yun), il fait sienne une certaine théorie de l'existence, partagée entre «little hunger» (somme toute, un simple instinct de survie) et "great hunger" (une impulsion, une curiosité poussant à expérimenter les grandes énigmes de la vie). Sommaire. Traces brûlées. Mystère, entretien avec Lee Chang-Dong.
Numéros de page :
pp.20-24

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Avec "Le Poirier sauvage" (voir n° 689-690, juillet-août 2018), "Burning" fut l'un des grands films de la compétition cannoise et, comme celui de Nuri Bilge Ceylan, ignoré d'un jury aveugle sur les pouvoirs du cinéma. Après "Oasis", "Secret Sunshine" et "Poetry", Lee Chang-dong s'impose, une fois de plus, comme l'un des principaux auteurs contemporains. En empruntant le schéma du thriller, il entreprend un voyage existentiel entre la réalité et l'illusion autour de trois personnages qui forment un triangle amoureux.
Numéros de page :
pp.18-23

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Depuis "Peppermint Candy" en 2000, notre revue porte une attention soutenue et enthousiaste au travail de Lee Chang-dong (trois couvertures, trois entretiens). L'année dernière, nous fûmes si complètement transportés par "Burning" (voir n° 691, p. 16) que nous décidâmes de revenir plus longuement sur l'oeuvre du cinéaste coréen. La sortie ce mois de l'édition française du DVD nous en donne l'opportunité.
Numéros de page :
pp.90-106, 108-112

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Date parution pério
2019-09-01
Le triomphe cannois de "Parasite", suivi par son remarquable accueil public français et international, ont agi comme une sorte de spectaculaire point d'orgue : la progression constante du cinéma coréen, dans le coeur des spectateurs et des critiques, a atteint une apogée, prenant la place d'un cinéma hongkongais ayant perdu depuis longtemps, pour d'évidentes raisons, son aura et sa productivité. Le succès de Bong Joon-ho ne doit néanmoins pas nous faire oublier une histoire coréenne plus large et globale, ses racines, ses origines.
Numéros de page :
pp.2-95