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Coppola, Sofia (1971-....)

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Auteurs
Bruyn, Olivier de Auteur du texte
Sofia a voulu faire du cinéma .comme papa. Objectif : faire oublier l'ombre du géant Francis Ford Coppola, tout en choisissant la même voie que lui ! De "Virgin Suicides" aux "Proies", elle s'est fait un prénom. Un exploit.
Numéros de page :
3 p. / p. 66-68

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Auteurs
O'Neill, Eithne Auteur du texte
Numéros de page :
2 p. / p. 28-29

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"Virgin Suicides" et "In the Mood for Love", immergés chacun à leur façon dans la culture pop, s'offrent autant au regard qu'à la consommation.
Numéros de page :
/ p. 50-51

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Depuis qu'elle a réalisé "Virgin Suicides" il y a cinq ans, il n'y a plus ni "fille de" ni "femme de" qui tiennent. Celle qui a grandi à l'ombre de la barbe à papa et de la casquette de Spike Jonze confirme, avec "Lost In Translation", qu'elle est Sofia Coppola comme personne.
Numéros de page :
6 p. / p. 78-83

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Pour son film, "Marie-Antoinette", avec Kirsten Dunst dans le rôle-titre, l'Américaine Sofia Coppola s'est inspirée de la biographie de la Britannique Antonia Fraser, que Laurent Lemire a rencontrée.
Numéros de page :
3 p. / p. 126-128

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Jadis, au temps des combats, quelques dames de fer inventèrent le cinéma de femmes. Bien plus tard, à l'extrême pointe des années quatre-vingt-dix, Sofia Coppola inventait le cinéma de jeune fille. Soit, une approche intensément féminine (mais débarrassée des préoccupations revendicatrices) appliquée à des films unisexes, posant un regard saisissant, encore naïf mais déjà déniaisé, sur des sujets universels.
Numéros de page :
3 p. / p. 95-97

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La réalisatrice de "Lost in translation" revisite la vie de la reine controversée et signe un sublime récit d'apprentissage.
Numéros de page :
pp.90-97

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Pour son premier film, Sofia Coppola revient sur un fait divers des années 70, sur fond de rock et de mal de vivre.
Numéros de page :
/ p. 166