Face à l'ampleur de la crise, le chef de l'Etat demeure insaisissable. Plongée en hollandie.

Avec la crise, les jeunes ne sont plus les seuls à cohabiter. Toujours plus de Français plébiscitent l'habitat partagé. Cet engouement pousse les pouvoirs publics à légiférer et les promoteurs à développer des offres pour une formule en plein boom.

Après trois ans de crise, le marché se réveille doucement, comme en témoigne le retour des acheteurs dans les agences et les bureaux de vente. Mais, si ce rebond de l'activité augure une belle embellie, la confiance n'est pas encore restaurée, et la reprise, toujours pas au rendez-vous.

Les signes d'amélioration de la situation économique se multiplient en France, sous l'effet d'une conjonction de facteurs favorables : baisses du prix des hydrocarbures, de l'euro et des taux. Mais les entreprises hésitent encore à investir. Un véritable redressement demandera du temps et des efforts, en particulier sur le front de l'emploi.

Déclassement social, "grand remplacement", peur de l'islam : les raisons d'inhospitalité de notre pays sont identifiées. Mais les politiques ont bien du mal à les combattre... quand ils ne les approuvent pas ! La solution viendra-t-elle du terrain, et des expériences d'accueil réussies ?

Le point sur l'opportunité, ou au contraire, le risque que représente la création d'entreprise dans le contexte de la crise économique, en France. Si certains estiment que créer une entreprise lorsque les indicateurs sont au rouge relève du pari risqué ; pour d'autres, la période représente le moment propice pour prendre des risques et gagner des parts de marché. Ainsi, en modifiant en profondeurs les contours d'une société, et notamment les manières de consommer, les crises ne pas des périodes hostiles aux idées nouvelles.

Le point, en 2013, sur l'essor continu des dons aux fondations, en France, dans le contexte de la crise économique, et notamment des fondations reconnues d'utilité publique (FRUP). La population qui donne est désormais plus nombreuse que celle qui ne le fait pas, avec 5 millions de foyers déclarant des dons chaque année. Le profil de ces philanthropes : des personnes de 50 ans et plus, aisées, diplômées de l'enseignement supérieur, habitant le plus souvent en région parisienne.

Nécessaire évolution des banques privées françaises, en 2013, suite à la crise économique, alors que les clients se posent de plus en plus de questions à propos de leur patrimoine. Leurs besoins ne se résument plus désormais à faire fructifier leurs avoirs. S'ils attendent bien évidemment toujours un retour sur investissement, ils désirent avant tout préserver la valeur de leur patrimoine en minimisant les risques. A cela s'ajoute un nouvel environnement économique et fiscal qui fait apparaître de nouvelles attentes.

Laurent Joffrin prend la plume pour dénoncer "les défaitistes, les déclinistes et autres prophètes de la décadence" qui n'arrêtent pas d'annoncer le "suicide de la France". Ciblant différents essayistes spécialistes de la vision noire et déprimante du pays, il préfère quant à lui célébrer "le réveil français" - titre de son dernier essai - qui s'est notamment manifesté lors des manifestations du 11 janvier 2015 consécutives aux attentats.

La France est un des pays occidentaux où le taux de dépenses sociales apparaît le plus important, mais cet Etat-providence édifiée à partir de 1945 connaît, depuis la fin des Trente Glorieuses, des difficultés croissantes de financement. Avec la durée de l'étendue de la crise, et du fait d'une bien moindre insertion des individus dans des collectifs leur garantissant des droits sociaux, l'assurance sociale ne suffit plus à assurer la protection d'un grand nombre de Français et le système en outre se complexifie.

La crise économique risque d'avoir pour conséquence de reléguer à l'arrière-plan de la campagne présidentielle la question de la culture. Cependant qu'émerge une ″culture numérique″ favorisée par l'accès de tous à Internet et la multiplication des écrans, les pratiques culturelles ″traditionnelles″ déclinent, menaçant le grand rêve de démocratisation.

Matraquage fiscal, chômage massif, fermeture d'entreprises... La situation économique n'est pas bonne et la politique du gouvernement passe mal dans l'opinion. Cela suffit-il à expliquer l'incroyable sinistrose ambiante ?