Dans les Deux-Sèvres et en Charente-Maritime, un projet de captation et de stockage d’eau destiné à l’irrigation suscite la colère, à l’heure où les sécheresses se multiplient.

D'un côté, environ 5 000 manifestants unis sous le mot d'ordre "Tout le monde déteste les bassines". De l'autre, 1 500 gendarmes mobiles, un hélicoptère et des grenades de désencerclement. La scène s'est déroulée en mars dernier dans les Deux-Sèvres et témoigne de la tension qui règne autour d'un projet de seize réserves d'eau destinées à l'irrigation des champs. Depuis dix ans, une querelle tenace oppose associations environnementales et exploitants agricoles. Les deux camps avancent pourtant un même argument : parer aux sécheresses et limiter l'impact du réchauffement.

Interdictions préfectorales, répression musclée et accusations d’« écoterrorisme » : la répression du mouvement contre le chantier de la retenue d’eau de Sainte-Soline est encore montée d’un cran.

Les Archives départementales des Deux-Sèvres et de la Vienne vont inaugurer, ce mois de mars 2020, un nouveau site internet mutualisé. L’occasion de dépoussiérer en profondeur les fonds numérisés, les bases, et surtout les pratiques de communication auprès des internautes. Mais aussi, pour les deux équipes, l’opportunité d’être plus innovantes.

Grand amoureux de la nature, Jacques Deboire vient d'obtenir le label « Havre de vie sauvage » pour son terrain situé dans les Deux-Sèvres. Une solution inédite qui préserve sa propriété melloise de toute intervention humaine pendant presque cent ans.

Des manifestants ultraradicaux sont attendus dans les Deux-Sèvres cinq jours avant le début des JO.