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Douleur et gloire

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L'éclatante réussite de "Douleur et Gloire" confirme, après "Julieta", le regain de puissance émotionnelle du cinéma de Pedro Almodovar. Les "Etreintes brisées" et "La piel que habito" étaient des oeuvres raffinées mais quelque chose de glacé y bridait l'élan des affects, quand "Les Amants passagers" échouait à renouer avec le côté primaire de ses premiers films.
Numéros de page :
pp.8-14, 16-19

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Circulation entre passé et présent, entre contre-culture de naguère et richesse glorieuse d'aujourd'hui, entre Madrid et province: le nouveau film de Pedro Almodovar reprend des motifs déjà esquissés dans son précédent long métrage, "Julieta", qui marquait l'entrée dans une nouvelle phase de son oeuvre. Une phase plus personnelle, plus tourmentée, où le cinéma apparaît comme le seul remède contre la douleur de la solitude et de la perte et qui réaffirme avec force que tous les autres arts (en particulier l'écriture et la peinture) sont source de vie et d'inspiration pour le cinéaste.
Numéros de page :
pp.20-26

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Bulletin : Le Point
Son superbe "Douleur et gloire", sur un homme qui se reconstruit, sera en compétition à Cannes. Rencontre avec le réalisateur et extrait de la lettre qu'il nous a adressée.
Numéros de page :
pp.74-77

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Avec "Douleur et Gloire", Pedro Almodovar revisite sa propre histoire dans un geste cinématographique d'une allègre mélancolie. Evitant l'écueil de la complaisance, il met ici en scène ce qui a formé son imaginaire. Entretien.
Numéros de page :
pp.22-27

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Bulletin : L'Express
Le cinéaste espagnol revient en compétition à Cannes avec l'un de ses plus beaux films, "Douleur et gloire". Il y parle de lui et de lui. Mais avec grâce et intelligence.
Numéros de page :
pp.92-93

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Date parution pério
2019-05-16
Et si, avec "Douleur et Gloire", sa sixième tentative, Pedro Almodovar décrochait enfin la palme d'or ? Dans cette très belle autofiction, Antonio Banderas incarne le cinéaste de "Tout sur ma mère". Rencontre.
Numéros de page :
pp.75-77

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Bulletin : Première 496
Date parution pério
2019-05-01
Dans l'introspectif "Douleur et Gloire", le réalisateur espagnol fait le point sur son existence, ses amours perdues et son cinéma. Il a confié le rôle principal, celui d'un cinéaste en crise existentielle et artistique, à son acteur fétiche, Antonio Banderas. Rencontre avant un nouveau grand bain cannois ? En page 98-99, la critique du film "Douleur et Gloire".
Numéros de page :
pp.48-55, 98-99