Elles ne mouillent pas, roulent et rebondissent sans se déformer ni s'écraser.

Dans certaines conditions, un échantillon d'eau à 70ł C gèle plus vite qu'un autre à 30ł C... sans que l'on puisse avancer une explication théorique satisfaisante à ce phénomène maintes fois observé.

Un chercheur français vient de réaliser une expérience troublante sur les hautes dilutions. Qui rappelle furieusement l'épisode sulfureux de la mémoire de l'eau. Une anomalie de plus dans un liquide de moins en moins limpide.

Aristote l'avait observé : sous certaines conditions, l'eau chaude gèle plus vite que l'eau froide. Plus de 2 300 ans après, le phénomène reste à éclaircir.

Comment faire pour que l'eau glisse sur une surface sans la mouiller ? Le lotus ou le canard ont trouvé la solution. L'homme y parvient à son tour, et découvre des gouttes aux propriétés inhabituelles.

L'eau est réputée efficace pour éteindre le feu. En milieu confiné, elle peut cependant entraîner un effet inverse et catastrophique.

Parmi toutes les molécules du monde vivant, il en est une d'importance majeure, c'est l'eau. Une formule chimique des plus simples, H2O, cache en fait un élément complexe impliqué dans une multitude de rôles primordiaux pour notre organisme.

Pourquoi bout-elle à 100ł plutôt qu'à -80ł ? Pourquoi les glaçons flottent-ils dans nos verres au lieu de couler ? Ces énigmes, et bien d'autres, déconcertent les savants.