Du théâtre à la série B d'horreur, le réalisateur du mythique ″Re-Animator″ incarne un certain âge d'or des années 80.

Dans la foulée de ″Take Shelter″, retour sur un jeune cinéma américain qui s'est approprié l'inquiétante étrangeté du sud profond.

Wes Craven, éternel "mauvais rêveur" du cinéma d'horreur américain s'est éteint le 30 août 2015 à l'âge de 76 ans.

La série "Midnight Collection", chez Carlotta, est l'occasion de se plonger dans le splatter-movie new-yorkais des années 80 avec son maître Frank Henenlotter.

De passage à l'étrange Festival, Frank Henenlotter, le pape du cinéma gore new-yorkais des années 80, revient sur sa carrière.

De passage au Festival européen du film fantastique de Strasbourg, le maître de l'horreur new yorkaise William Lustig revient sur sa carrière.

Le giallo fait assurément partie des genres qui ont le plus profité des ressorties DVD et Blu-ray. Longtemps reléguées au rang de raretés de vidéo-clubs, éditées dans des versions anonymes ou au rabais au temps de la VHS, nombre d'oeuvres emblématiques de ce genre-roi du cinéma italien des années 60-70, qui doit son nom aux couvertures jaunes ("giallo") des romans policiers italiens, ont trouvé une seconde jeunesse grâce au travail d'orfèvre d'éditeurs spécialisés.

Romero, Carpenter et Craven, les maîtres du film d'horreur contemporain ont réalisé des oeuvres plus variées, mais aucune n'est aussi pure...

Plus qu'une potentielle zombiemania, les sorties DVD de "Land of the dead", de George A. Romero, et de son épigone fun, "Shaun of the dead", d'Edgar Wright, confirment surtout le retour à un cinéma vivant qui se sert de sa cervelle autant derrière que devant la caméra.

Sur l'écran comme dans les livres, l'horreur séduit les enfants. Et les adultes exploitent le filon.

D'une tribu anthropophage d'Amazonie aux pompiers de Barcelone, le film d'épouvante s'inspire de la télé-réalité et joue de la caméra digitale.