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Les Choses qu'on dit, les choses qu'on fait

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Auteurs
Bulletin : Première 510
Avec "Les choses qu'on dit, les choses qu'on fait", Emmanuel Mouret signe un film virtuose, le plus beau et le plus abouti de sa carrière à ce jour. Mais qu'est-ce qui fait de lui un réalisateur si singulier dans le paysage du cinéma français ? Décryptage.
Numéros de page :
pp.72-75

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Bulletin : Première 510
Le coup de foudre, les liens qui se font et se défont au hasard des rencontres, les remords, les regrets ... Emmanuel Mouret raconte le sentiment amoureux avec un mélange de douceur et de cruauté qui fait toute sa singularité. Et signe son plus beau film.
Numéros de page :
pp.84-85

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Avec "Les choses qu'on dit, les choses qu'on fait" d'Emmanuel Mouret, Camélia Jordana confirme sa place dans le cinéma français : elle n'est plus assignée à des rôles liées à ses origines. Pour autant, l'actrice poursuit son combat féministe et antiraciste, que ce soit en chansons ou via des prises de position partagées avec Adèle Haenel et Aïssa Maïga.
Numéros de page :
pp.36-40

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Casting attachant et récit parfaitement maîtrisé, Emmanuel Mouret poursuit ses variations sur le sentiment amoureux et les tensions du désir. Avec une ampleur et une gravité nouvelles.
Numéros de page :
pp.58-59

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Dans "les Choses qu'on dit, les choses qu'on fait", le metteur en scène de "Mademoiselle de Joncquières" nous entraîne dans un vertigineux récit sur la passion et honore une nouvelle fois le langage. Rencontre.
Numéros de page :
pp.72-73

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Date parution pério
2020-09-01
Avant de commencer son histoire, Emmanuel Mouret nettoie la piste : quand Maxime (Niels Schneider), venu rendre visite à son cousin dans sa maison de campagne, est cueilli sur le quai par la fiancée de celui-ci qu'il ne connaissait pas, le "petit accident sans gravité" d'un collègue de chantier qui retarde le cousin est annoncé par Daphné (Camélia Jordana) du bout des lèvres, sans la moindre velléité de naturel, dans sa nudité de prétexte narratif.
Numéros de page :
pp.18-22

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Date parution pério
2020-09-01
Nous suivons depuis longtemps avec intérêt l'oeuvre singulière d'Emmanuel Mouret, peintre des sentiments et du marivaudage, adepte d'un cinéma où la parole a une place prépondérante. S'il avait choisi d'adapter un récit de Diderot dans son film précédent (le remarquable "Mademoiselle de Joncquières"), Mouret revient avec "Les Choses qu'on dit, les choses qu'on fait" à un récit personnel et contemporain, sur lequel plane toujours l'esprit de la littérature du XVIIIe siècle. Ce film choral touchant et subtil était l'occasion rêvée d'un premier entretien.
Numéros de page :
pp.18-25