L’occupation de la ville kurde d’Afrin va renforcer les djihadistes, ouvrir la voie à une crise humanitaire et rendre encore plus inextricable la crise syrienne, estime ce site turc d’opposition.

L’intervention russe en Syrie fait partie de la stratégie d’influence de Moscou, qui se met en scène comme garant de l’ordre international. Mais les rebelles syriens, la communauté internationale et même la société russe lui opposent des récits alternatifs. Signe que l’opposition ne se joue plus uniquement au niveau du conflit armé, mais aussi sur le plan des symboles et des discours.

L’attaque américaine à Deir Ez-Zor début février 2018 a révélé la présence de nombreux mercenaires russes en Syrie. Un site moscovite nous en dit plus sur ces mystérieux volontaires russes.

Des combats ont éclaté pour la première fois le 3 février 2020 entre troupes syriennes et turques autour d'Idlib. Moscou se retrouve aujourd'hui dans une position inconfortable.

Au bord de l'affrontement avec la Russie en Syrie, Recep Tayyip Erdogan s'est retourné vers le maillon faible, l'Europe. En ouvrant grand la porte aux migrants. En complément, un reportage à la frontière gréco-turque, le long du fleuve Evros intitulé "La solitude grecque" où le pays comme les citoyens redoutent une nouvelle vague migratoire comparable à celle de 2015 et se sentent abandonnés par l'Union européenne.

On pensait le monde vacciné contre le chantage à la guerre atomique. Quarante ans après la crise des euromissiles, Américains et Russes ont pourtant relancé la modernisation de leur arsenal nucléaire. La confrontation directe entre les deux anciens rivaux reste peu probable, mais un embrasement à partir d'un conflit périphérique n'est plus à exclure. Notamment en Syrie, un terrain instable investi par Washington, Moscou et de multiples acteurs régionaux. Sommaire. De la kalachnikov aux bombardiers furtifs. Surenchère nucléaire aux Etats-Unis. Un continent à l'ombre des missiles Pershing.