Mais quels sont donc les ressorts de ce ministre jugé parfois trop discret qui applique à la lettre une ligne bénie par l'Elysée ? Même si celle-ci suscite le doute dans l'opinion et la grogne dans une partie de la gauche...

Désormais, il faut sabrer. Voici comment Filippetti, Valls, Duflot ou Montebourg veulent gérer la pénurie sans abandonner toute ambition réformiste.

Lumière sur les effets pervers et les coûts réels des différentes mesures prises dans le cadre de la Révision générale des politiques publiques (RGPP) lors du quinquennat (2007 - 2012) de Nicolas Sarkozy à la présidence française. Alors que la France cumulait une dette publique de 1 700 milliards d'euros en 2011, les 550 réformes lancées dans le cadre de la RGPP auraient permis d'économiser 15 milliards d'euros par an selon le gouvernement.

Au sein de leur propre famille politique, ils se sont affrontés sur les conséquences du traité européen. Principaux terrains de polémique: le transfert des prérogatives des Etats au profit de la Commission de Bruxelles, et la rigueur budgétaire imposée aux gouvernements pour réduire le déficit. Controverse entre ouistes et nonistes du même bord.

Examen par un professeur d'économie de la solution que représenterait la désindexation des charges de l'Etat dans le but de réduire l'endettement public français à travers l'exemple du gisement d'économie le plus important : les retraites. La conclusion : en tirant un trait sur les hausses automatiques de ses dépenses, l'Etat pourrait économiser 11,3 milliards d'euros par an. Une solution qui se révèle toutefois injuste socialement.

Réduire de 50 milliards d'euros les dépenses publiques d'ici à 2017, comme le prévoit le gouvernement, représente un effort historique. Si, pour l'économiste Henri Sterdyniak, ce choix revient à brader notre modèle social, le député UMP Hervé Mariton estime, lui, que la France pourrait aller encore plus loin.

Décryptage, sous forme d'un dossier début 2016, des enjeux économiques du climat sécuritaire tendu en France et à l'international sur fond de menaces de terrorisme islamique pour l'industrie et les finances publiques en France. Un climat qui nécessite de relancer les filières de l'armement (franco-françaises et européennes) et de la sécurité (du secteur public comme privé), quitte à faire quelques entorses au pacte de stabilité des dépenses publiques dicté par l'Union européenne en notant toutefois que les exportations d'armement français ont rapporté 15 millions d'euros en 2015. Sommaire.

En France, cette fiscalité verte pourrait être inscrite dans la loi de finances 2010.

Une analyse sans concession du gaspillage des deniers publics et donc... des économies possibles.

La France veut convaincre ses partenaires qu'elle a encore besoin d'un délai pour revenir à l'équilibre budgétaire...

Déjà à la diète, la Défense devrait subir de nouvelles coupes.

Amies et députées, Karine Berger et Valérie Rabault harcèlent le Premier ministre.