Distinguons des enseignants-chercheurs et des chercheurs enseignants.

Lourdeurs administratives, fournisseurs imposés, manque de force de proposition et de liberté d'action... Le CNRS ne serait-il pas au mieux de sa forme ?

Grâce à une politique volontariste, Napoléon a élevé la France au premier rang des puissances scientifiques. Un exemple à suivre aujourd'hui ?

Depuis plusieurs années, la thèse du déclin de la France (loin d'être nouvelle) connaît un regain à la faveur de la sortie de divers ouvrages alarmistes.

Chaude alerte : le financement public de la recherche a failli être amputé récemment de 30% pour cause de déficit budgétaire. Les chercheurs crient misère.

Faute de crédits, les laboratoires recrutent au compte-gouttes et un bon doctorat ne suffit pas pour se caser. Mais il ne faut pas fuir cette filière : avec tenacité et débrouillardise, on peut réussir... quitte à devoir filer à l'étranger.

Le sexisme frappe aussi dans les labos. La parité y est en recul. Et quand une chercheuse tente de la défendre, le ministre de la Recherche répond par des propos machistes.

A quoi ressemble la recherche française des années 1990 ? Une équipe de sociologues de la science a mis au point un outil pour l'analyser, en dégager les forces et les faiblesses.

Vive les élections ! La démocratie a cela de bon qu'elle invite, à intervalles réguliers, à procéder aux examens de conscience.

Vive les élections, encore et encore ! La démocratie a cela de bon qu'elle invite, à intervalles réguliers, à procéder aux examens de conscience.

L'article "La défaite de la science française" a suscité un abondant courrier, dont la majeure partie se trouve déjà sur notre site Web.