Les paléontologues traquent les caractères qui marquent la frontière entre les êtres humains et leurs cousins grands singes : plus que l'émail des dents ou la face aplatie, c'est la bipédie permanente qui est le propre de l'homme.

Près de 20 ans après l'apparition des premiers cas de vaches folles en Grande-Bretagne, les conséquences pour la santé publique sont incertaines, notamment en raison des risques liés à la transfusion sanguine.

Si le sport est par définition un concept occidental moderne, un vecteur de la "mondialisation", son adoption dans des milieux exotiques traditionnels peut entraîner des transformations qui, sous l'aspect futile du jeu, témoignent d'une faculté créatrice inscrite dans les particularités de chaque société et de chaque culture.

Jean-Paul Mari a retrouvé ceux qui murmurent à l'oreille des mustangs. Loin de la brutalité traditionnelle du Far West, ces nouveaux cow-boys savent soigner les effets de la peur et de la violence, réconcilier les montures avec leur cavalier...

Psychologues et comportementalistes ont étudié les effets des chiens, chats, perruches ou chevaux sur notre humeur.

Le retour du prédateur angoisse les bergers et attise leur rancoeur contre les écologistes, accusés de rêver une nature idéalisée, où le sort des hommes passerait après celui d'une bête nuisible.

Bien sûr, il a massacré les bisons, les éléphants, les loups, les baleines. Pourtant, affirme l'historien Xavier de Planhol dans une thèse passionnante, l'homme n'a mis en péril les espèces animales. Bien au contraire.

L'indicateur mange-ciel porte mal son nom : il ne s'intéresse qu'à la cire et aux larves des abeilles. Incapable de pénétrer lui-même dans les nids, il s'est associé à un grand prédateur : l'homme. Celui-ci prend le miel, et laisse le reste à l'oiseau.