Sous les coups de boutoir de l'opposition appuyée par le Brésil, les Etats-Unis et l'Union européenne, le pouvoir du président Nicolas Maduro vacille, sur fond de profonde crise économique.

Alors que Nicolas Maduro vient d'être réélu, beaucoup, à la frontière colombienne, tentent de survivre.

Malgré les tensions sociales et la crise économique, Nicolas Maduro s'accroche au pouvoir. Et tente d'éviter des élections anticipées, analyse ce quotidien d'opposition.

Les gouvernements de gauche du sous-continent payent le prix de la récession et essuient la forte résistance des conservatismes en place.

Il n'y a plus guère de doutes sur le tournant que prend le pays, constate cet éditorialiste dans un billet véhément contre le pouvoir du président Maduro. C'est celui de la tyrannie, et le peuple n'a pas su l'arrêter à temps.

Depuis plusieurs semaines, des milliers de personnes manifestent contre le régime de Nicolás Maduro, successeur d'Hugo Chávez. Cet Etat, pourtant riche en pétrole, a sombré dans la pauvreté. Sommaire. Manger, un défi quotidien. Un président K.-O. mais debout. Trump devra s'adapter.

Mobilisant la rue depuis des mois, les opposants entendent contrer le pouvoir de Maduro en organisant une consultation populaire.

Luisa Ortega, magistrate de gauche engagée, servait depuis longtemps le régime bolivarien. Jusqu'au jour où le gouvernement de Nicolás Maduro a tenté de supprimer la légitimité des députés élus.

Le pouvoir vient de franchir une étape symbolique en imposant une Assemblée constituante qui prend la main sur toutes les instances démocratiques. Malgré des manifestations incessantes et durement réprimées depuis près de quatre mois, le projet du président, Nicolás Maduro, de reprendre les rênes sans partage est atteint. Épuisée par les pénuries et le chaos, la population fuit un pays riche de ses réserves pétrolières mais ruiné par une gestion erratique. Comment sortir du virage autoritaire qui se dessine ?

Au pouvoir depuis 1998, Hugo Chavez vient de se faire réélire pour un nouveau bail de six ans à la présidence du Venezuela. Pour vérifier la bonne tenue de l'élection, les autorités du pays avaient ouvert les portes à divers missions d'observateurs étrangers.

Quarante-huit heures après son éviction par l'armée, le président du Venezuela retrouve son palais. Mais cela lui assure-t-il pour autant d'aller jusqu'au terme de son mandat, en 2006 ?