L'histoire de l'urbanisme vient d'être bouleversée : de nouvelles avancées archéologiques en Europe ont révélé en Europe orientale les traces de métropoles oubliées, les plus anciennes jamais découvertes. Simon Devos nous fait visiter les lieux de vie d'une civilisation encore peu connnue.

En plein coeur de Montréal, au Québec, se trouve un quartier bouillonnant de culture et nourri d'une histoire mouvementée.

Oubliez les anneaux de couleurs qui vous accueillent à la gare Eurostar de Saint-Pancras, le folklore olympique. Rentrez directement dans l'underground. Suivez-nous dans les strip-clubs de la ville, au coeur des radios pirates qui ont fait le dubstep, découvrez Breton, le groupe briton du moment, ou encore Hackney Wick, ce quartier collé juste sous le stade olympique, où se trouve la plus grande concentration d'artistes dans le monde.

La question du genre – des genres – est partout. Sur les écrans dans les questions d’actualité et les débats de société, sur les murs de nos villes où fleurissent les messages des colleuses et colleurs, dans nos cadres professionnels, dans nos foyers. Et aussi, depuis de très nombreuses années, dans les publications et les colloques sur l’aménagement et l’urbanisme. A la revue « Urbanisme », nous n’avons donc eu aucune peine à nous convaincre que mettre la thématique des genres à l’agenda de nos publications était plus qu’un bon choix éditorial : une vraie nécessité.

Rencontré la veille de l'attribution du prix Renaudot à son roman "Performance", Simon Liberati nous a livré sa vision des villes d'hier et d'aujourd'hui, qu'il compare à des palimpsestes, à l'image de ses propres écrits.

Où sont passés les labradors costauds, les setters frénétiques, les boxers musculeux, qui traînaient au bout de leur laisse la testostérone de leur maître? En centre-ville, on ne voit plus que du mec à petit chien. Quelles motivations ? Quelles compensations ?