Au Mondial de l'automobile, l'équipementier français fera rouler une voiture électrique sur le périphérique.

C'est l'ultime alliance de l'électronique et de l'automobile : presque tous les constructeurs planchent aujourd'hui sur un système de direction tout électrique qui, notamment, promet de remplacer le volant par le joystick.

En cours de test, ce mode de transport promet d'être moins coûteux et de rendre les rues plus respirables

Les premiers essais de navettes sans chauffeur ont démarré en conditions réelles, de nombreuses sociétés planchent sur la conception de voitures volantes ou de trains circulant à plus de 1 000 kilomètres par heure : le monde des transports est en pleine mue. Mais quel sera l'impact sur notre société ? Et comment s'assurer qu'il sera doté d'une éthique acceptable ? Quelles que soient les réponses, "2017 sera une année passionnante pour la prochaine génération de transports", juge le magazine "Quartz".

Après les Etats-Unis, l'Europe ouvre à son tour ses rues à ces véhicules connectés pour lesquels s'affrontent constructeurs auto et géants de la high-tech.

La législation ne l'autorise pas encore, mais une voiture sans volant ni pédales assurerait une meilleure sécurité.

Plusieurs pays autorisent la circulation de voitures autonomes, à condition qu'un conducteur puisse reprendre la main à tout moment. La convention de Vienne (1968), qui régit les règles de circulation sur le globe (sauf en Chine et aux Etats-Unis), précise en effet qu'un conducteur doit avoir en permanence le contrôle du véhicule. Une soixantaine de prototypes circulent en Allemagne, en Espagne, au Japon, en Suède et aux Etats-Unis (Nevada, Floride... ). France et Royaume-Uni suivront bientôt.