Cinq ans après la Palme d'or pour "Oncle Boonmee", Apichatpong Weerasethakul revient avec "Cemetery of Splendour", où se déploie à nouveau toute la grâce miraculeuse de sa fantaisie ouatée. Dans son pays, la Thaïlande, dont le climat politique lui pèse jusqu'à l'intolérable, virée de quelques jours auprès du plus grand cinéaste du monde.

Titre recensés : "Dheepan" de Jacques Audiard ; "Floride" de Philippe Le Guay ; "Cemetery of Splendour" d'Apichatpong Weerasethakul ; "La Peur" de Damien Odoul ; "Much Loved" de Nabil Ayouch ; "Tsili" d'Amos Gitaï ; "Les secrets des autres" de Patrick Wang ; "The Lesson" de Kristina Grozeva et Petar Valchanov.

Entrez dans le rêve - et dans le "Cemetery Of Splendour" d'Apichatpong Weerasethakul.

"Cemetery of Splendour", le nouveau film d'Apichatpong Weerasethakul, est entièrement dédié à son actrice fétiche, Jenjira Pongpas.

Comment "Cimetery Of Spendour" devient-il si déchirant ? Le nouveau film d'Apichatpong Weerasethakul est une magnifique histoire d'amour en même temps qu'une séance d'hypnose et une élégie politique.

"Mad Max : Fury Road", "Inherent Vice", "The Smell Of Us", "Cemetery Of Splendour", quatre films en ligne droite et de pure dépense plastique.