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Gestion de trésorerie -- France

Article

Les sources de financement des PME en développement ne se sont pas forcément taries, mais leur dosage se complique
Numéros de page :
4 p. / p. 17-21

Article

Auteurs
Roy, Stéphanie Auteur du texte
Le point, en juin 2011, sur l'attrait croissant de l'affacturage (transfert de créances commerciales à une société d'affacturage, ou factor) auprès des très petites entreprises (TPE) françaises. Un attrait dû à l'assouplissement de leurs conditions d'accès et lancement de produits dédiés aux TPE par les sociétés d'affacturage, avec le concours d'Oséo (organisme français de financement de l'innovation et des entreprises). Glossaires sur les solutions d'affacturage.
Numéros de page :
2 p. / p. 73-74

Article

Auteurs
Halpern, Nathalie Auteur du texte
Lumière sur le régime de comptabilité simplifié auquel les PME françaises peuvent souscrire depuis mai 2011. Une mesure adoptée dans le cadre de la loi sur la simplification et l'amélioration de la qualité du droit permettant ainsi aux PME de n'enregistrer que les recettes et les dépenses de l'entreprise, au jour le jour sans tenir compte des créances et des dettes au cours d'exercice, contrairement à la comptabilité traditionnelle. L'objectif : réduire le temps et donc le budget consacré au suivi des comptes de l'entreprise.
Numéros de page :
2 p. / p. 81-82

Article

Auteurs
Morel, Christophe Auteur du texte
Développement et intérêt grandissant du reverse factoring, ou affacturage inversé, en période de crise. Le principe : le grand groupe, par le biais d'un factor, paye immédiatement ses fournisseurs. Une solution qui permet de pérenniser les relations donneur d'ordres-fournisseurs : grâce à elle, les fournisseurs seront mois soumis aux affres d'une trésorerie fluctuante et les donneurs d'ordre peuvent sécuriser leur supply-chain. Explications et détails sur les atouts de la méthode, ainsi que sur les conditions à remplir pour que ce type de programme soit réellement efficient.
Numéros de page :
2 p. / p. 26, 28

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Auteurs
Belkadi, Nejiba Auteur du texte
Volonté des banques et des commerces, en France, d'en finir avec un management hasardeux des flux de trésorerie, celui-ci étant à l'origine du développement rapide des solutions de gestion et de traitement automatique des espèces. Des solutions de front ou back-office qui permettent de créer un véritable réseau favorisant la circulation rapide et la traçabilité de l'information entre le commerçant et sa banque. Alors que les paiements en espèces restent un mode de transaction très répandu, externaliser la gestion des espèces peut permettre d'améliorer la gestion de la trésorerie.
Numéros de page :
2 p. / p. 15-16

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Auteurs
Pietri, Antoine Auteur du texte
Succès grandissant de l'affacturage auprès des petites PME et des TPE françaises, le marché, de plus en plus vaste, ne reposant plus seulement sur les grosses PME ou les entreprises de taille intermédiaire. Pour les entrepreneurs qui veulent créer leur entreprise, l'affacturage apparaît parfois comme la solution pour financer le besoin en fonds de roulement, dès l'émission des premières factures, et accélérer la croissance sans courir le risque d'être piégé par les retards de paiement. Mais certains ont quelque fois du mal à s'y retrouver face à la complexité des contrats.
Numéros de page :
2 p. / p. 18, 20

Article

Auteurs
Morel, Christophe Auteur du texte
Focus sur le rôle essentiel joué par le cash management et les cash managers dans les entreprises. Une fonction stratégique et transversale, qui va de la maîtrise du besoin en fonds de roulement (BFR) au pilotage des flux financiers, en passant par la sécurité des échanges. Un métier en mouvement, dont les missions s'élargissent, notamment en matière de relations avec les clients.
Numéros de page :
2 p. / p. 18, 20

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Auteurs
Thomas, Romain Auteur du texte
Atouts et limites de la technique de financement du crédit-bail, ou leasing, à laquelle les chefs d'entreprise peuvent avoir recours en cas de difficultés d'accès au financement bancaire. Un outil avantageux sur les plans fiscaux et comptables, qui peut toutefois se révéler plus coûteux qu'un financement classique, le coût final étant assujetti à différentes variables. Quelques données chiffrées : en 2013, les investissements nouveaux en crédit-bail mobilier et immobilier ont atteint respectivement 11,5 milliards d'euros et 4,6 mds EUR, contre respectivement 9,8 mds EUR et 4,8 mds EUR en 2012.
Numéros de page :
2 p. / p. 22-23

Article

Auteurs
Thomas, Romain Auteur du texte
Tour d'horizon, en octobre 2015, des avantages et des limites et précautions d'usage à destination des entreprises françaises tentées par le crédit-bail. En ces temps de durcissement d'accès au crédit bancaire, le crédit-bail, solution de financement alternative, offre le principal avantage d'investir dans divers biens (mobiliers ou immobiliers) sans mise de fonds initiale. Ses limites : malgré une grande diversité de biens, tous ne sont pas éligibles au crédit-bail.
Numéros de page :
2 p. / p. 26, 28

Article

Auteurs
Willot, Didier Auteur du texte
Renforcement de l'intérêt des dirigeants français pour les techniques financières qui permettent de faire face aux risques, dont l'origine est de plus en plus étendue et auxquels peuvent être confrontées leurs entreprises. Liés à l'internationalisation des échanges, aux remboursements des emprunts, à la nature des actifs, aux enjeux politiques et écologiques, les risques nécessitent d'être précisément définis, évalués.
Numéros de page :
4 p. / p. 26, 28-30

Article

Auteurs
Willot, Didier Auteur du texte
Date parution pério
2014-10-31
Essor en France des techniques de credit management. Ces techniques permettent de limiter le risque client occasionné par des retards ou des incidents de paiements dans les relations commerciales. Un risque important puisque les entreprises françaises ont engagé l'équivalent de 30% du PIB, soit 600 millions d'euros en 2013, et que les encours clients représentent 41% des actifs d'une entreprise. La méthode : encadrer au plus fin le déroulement des relations commerciales en établissant délais, calendrier, modalités de relance et de contentieux.
Numéros de page :
2 p. / p. 10, 12