Comment optimiser la gestion des comptes clients dans un pays qui n'a pas de "culture cash"

Le temps où l'affacturage n'était qu'un dernier recours a vécu

Le point, en juin 2011, sur l'attrait croissant de l'affacturage (transfert de créances commerciales à une société d'affacturage, ou factor) auprès des très petites entreprises (TPE) françaises. Un attrait dû à l'assouplissement de leurs conditions d'accès et lancement de produits dédiés aux TPE par les sociétés d'affacturage, avec le concours d'Oséo (organisme français de financement de l'innovation et des entreprises). Glossaires sur les solutions d'affacturage.

Explications sur les différentes options d'affacturage à la disposition des entreprises françaises. Ces dernières recourent de plus en plus à cette technique, alors que les retards de paiement ne cessent de s'allonger. L'affacturage est en effet devenu un moyen incontournable pour les entreprises d'alimenter leurs besoins en fond de roulement.

Engouement des grandes entreprises françaises, voire même des multinationales, pour l'affacturage, une technique de recouvrement de créances mais aussi de financement du fonds de roulement, à l'origine destinée aux PME. Résultat : les sociétés d'affacturage mettent en place des systèmes de tarification de plus en plus variés allant même jusqu'à la proposition de simples forfaits pour les très petites entreprises qui n'ont ni les moyens, ni la structure nécessaire pour gérer en interne, et de façon efficace, leur compte client.

Eclairage sur la solution que représente l'affacturage pour les entreprises françaises en cours de création. Dans le cas d'un business plan prometteur, elle représente une piste de financement court terme. Le factor pourra financer ses créances et assurer la gestion de son poste client, le tout pour un coût pas forcément supérieur à celui d'un prêt bancaire classique. La solution peut même être combinée au concours bancaire qui permet en prime à l'entrepreneur de se décharger de la gestion du poste client, et donc de gagner du temps et de la simplicité de gestion.

Décryptage du marché dynamique de l'affacturage international, en 2013, en France. Un secteur qui se structure autour de deux principales catégories d'entreprises. D'une part, les PME qui représentent la moitié de l'activité en nombre de client et qui ont besoin de financement et de services à valeur ajoutée pour pénétrer les marchés export. D'autre part, les multinationales et grands groupes qui profitent de la souplesse et de la réactivité de ce mode de financement.

Succès grandissant de l'affacturage auprès des petites PME et des TPE françaises, le marché, de plus en plus vaste, ne reposant plus seulement sur les grosses PME ou les entreprises de taille intermédiaire. Pour les entrepreneurs qui veulent créer leur entreprise, l'affacturage apparaît parfois comme la solution pour financer le besoin en fonds de roulement, dès l'émission des premières factures, et accélérer la croissance sans courir le risque d'être piégé par les retards de paiement. Mais certains ont quelque fois du mal à s'y retrouver face à la complexité des contrats.

Intérêt croissant des start-up et des TPE françaises pour l'affacturage (factoring en anglais), une solution qui peut représenter un puissant levier de croissance. Si des risques existent, ils peuvent être évités en optant pour le bon contrat et la bonne solution d'assurance-crédit. Assurer ses ventes, prévenir les impayés, financer son développement, conserver sa capacité financière... Le factoring se révèle particulièrement judicieux pour les entreprises en création.

Recours croissant des PME françaises à l'affacturage inversé pour pallier leur accès difficile au crédit bancaire. Encore assez confidentiel, ce dispositif permet d'assurer le paiement des fournisseurs en temps et en heure tout en améliorant le besoin en fonds de roulement. Il se distingue de l'affacturage classique par la souscription du contrat par le client et non le fournisseur. Un focus sur le poids des retards de paiement.

Montée en puissance des start-up de l'affacturage en France en 2016. Leur moteur : offrir des prestations rapides, souples et moins coûteuses grâce à l'emploi des technologies numériques. Elles s'approprient aisément le marché des PME-TPE ayant jusqu'à présent des difficultés à accéder aux crédits bancaires et largement délaissées par les affactureurs classiques. Mais ces derniers ne veulent pas se laisser distancer et contre-attaquent sur les marchés qu'ils dominent. Explications avec témoignages de professionnels.