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Keïta, Ibrahim Boubacar (1945-2022)

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A quatre mois de la présidentielle, le parti, autrefois hégémonique, se déchire entre les partisans d'une candidature maison et les pro-IBK. Au point d'inquiéter le camp du chef de l'Etat et de nourrir les espoirs de l'opposition.
Numéros de page :
pp.30-33

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Quels sont les réussites et les échecs du quinquennat d'IBK ? Qui sont les principaux candidats à sa succession ? Paysage avant la bataille à l'approche du scrutin du 29 juillet 2018. Sommaire. ENJEUX. Question de confiance. Tiéman Hubert Coulibaly, Ministre des Affaires étrangères, président de l'Union pour la démocratie et le développement (UDD) : "Il n'y a pas de plan B, l'élection aura bien lieu". Election : un air de déjà-vu. Tiébilé Dramé, Président du Parti pour la renaissance nationale (Parena) : "Si nous voulons voir nos idées triompher, nous devons nous rassembler". ECONOMIE.
Numéros de page :
pp.91, 94-97, 100-102, 104, 106-107, 110-112, 114, 119, 122-125

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Candidat pour la troisième fois à la magistrature suprême, le chef de file de l'opposition, qui sera le principal adversaire du président sortant le 29 juillet 2018, est convaincu d'incarner l'alternance. Interview.
Numéros de page :
pp.24-28

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Candidat à sa propre succession, le 29 juillet 2018, le président sortant ne se lancera pas seul dans la bataille. Tour d'horizon de son équipe de campagne.
Numéros de page :
pp.28-30

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Même si la plupart des pronostics placent IBK en tête du premier tour, rien n'est encore joué. Mais à deux semaines du scrutin, le président-candidat se veut serein, satisfait des efforts et déterminé à les poursuivre.
Numéros de page :
pp.18-23

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Les clés du palais de Koulouba ne se trouvent pas au fond des urnes installées dans les quelque 760 bureaux de vote (un peu plus de 3 % du total) qui n'ont pu ouvrir leurs portes, le 29 juillet 2018, pour cause d'insécurité - la plupart d'entre eux demeureront fermés -, mais dans la capacité de Cissé à rassembler les perdants du premier tour ou dans celle d'Ibrahim Boubacar Keïta à les attirer.
Numéros de page :
pp.16-17

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Le report du référendum constitutionnel suffira-t-il à éteindre les braises de la manifestation populaire du 17 juin 2017 ? A un an de la présidentielle, le chemin vers la paix semble encore long, et le chef de l'Etat est sous le feu des critiques...
Numéros de page :
pp.12-14

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Forte d'une mobilisation sans précédent, l'opposition se sent pousser des ailes. Accords de paix, insécurité, Constitution... le leader de l'URD ne mâche pas ses mots à l'égard du chef de l'Etat.
Numéros de page :
pp.32-34

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Lutte contre l'insécurité et le terrorisme, relations avec la France, critiques de l'opposition, famille, santé, argent... A l'approche de la prochaine présidentielle, en juillet 2018, le chef de l'Etat livre sa part de vérité.
Numéros de page :
pp.28-34

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Fruit d'une prise de conscience collective, une nouvelle dynamique est à l'oeuvre au sein de la classe politique, de la société civile et des milieux d'affaires. De quoi enfin engager les réformes institutionnelles et le recentrage économique nécessaires au redressement du pays ? Sommaire. Enjeu : constitutionnellement vôtre. Economie : pas d'avancée sans le privé. Société : fibre laïque et influence religieuse.
Numéros de page :
pp.110-112, 114-116, 118-119, 121, 124-126, 128, 131-132, 134-136, 138-145

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Menace terroriste, tensions communautaires, urgences sociales... Pour sa première interview depuis sa réélection, en août 2018, le chef de l'Etat malien apparaît lucide sur les difficultés qui menacent la stabilité de son pays. Et déterminé à y remédier avant 2023.
Numéros de page :
pp.22-29

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Sept ans après son arrivée à la tête du Mali et après six mois de contestation populaire, Ibrahim Boubacar Keïta a dû démissionner sous la contrainte. Il laisse un pays exsangue, traversé par de graves crises sécuritaire, économique et politique. Une junte, dirigée par des officiers supérieurs, est désormais au pouvoir. Sommaire. Le coup d'Etat était inévitable. Pour les Maliens, le coup de grâce. L'heure du renouveau ?
Numéros de page :
pp.14-15