Au moment où les connaissances disponibles en amont - issues du génie génétique depuis trente ans et de la génomique depuis dix ans - n'ont jamais été aussi importantes, de moins en moins de produits innovants sont introduits sur le marché. Les stratégies de l'industrie pharmaceutique ne parviennent pas à enrayer cette spirale de la dégradation.

Ces imitations de médicaments, indispensables aux essais thérapeutiques, ne contiennent aucune substance active. Ils n'en sont pas moins très difficiles à produire. Explications.

L'étude du profil génétique des malades va permettre de proposer des traitements "à la carte", gage de plus d'efficacité et de moins d'effets indésirables.

La découverte d'un nouveau médicament s'apparente un peu à la découverte d'un nouveau continent. Le chercheur est semblable au navigateur. S'il peut espérer trouver une terre, il ne peut prévoir à l'avance ce qu'elle sera. Trouver une nouvelle molécule permettant de traiter d'une nouvelle manière une maladie, ou mieux une maladie pour laquelle on ne disposait d'aucun traitement, est une quête de tous les instants qui ne peut se construire que sur les bases de la recherche fondamentale.

Du développement à la découverte de médicament, Cellpep a mis en place un modèle de développement évolutif sans le temps. A étudier...

Lumière, en 2011, sur les avantages de la bioproduction végétale dans le secteur pharmaceutique, un procédé de production de biomédicaments issus des plantes après transformation génétique. Une alternative crédible à la bioproduction traditionnelle, à base de bactéries ou de levures transgéniques. La bioproduction végétale permet de synthétiser des protéines thérapeutiques de façon moins chère et parfois plus efficace.

Pour freiner l'évolution des maladies neurodégénératives type Alzheimer, Trophos cherche à développer des médicaments empêchant l'apoptose.