Emergence de l'open innovation dans les laboratoires pharmaceutiques français, en 2012. Confrontés à une production en berne, ces derniers taillent dans leurs effectifs de R&D et ont pour objectif de poursuivre leurs recherches à moindre coût, et avec une efficacité accrue. L'open innovation consiste alors, pour les Big pharma, à déléguer la recherche à une multitude d'acteurs (universités, PME, petits laboratoires, etc.), avec comme idées directrices, synergie et coopération. Les laboratoires, quant à eux, se concentrent sur la mise sur le marché.

Etat des lieux de la dématérialisation au sein des entreprises françaises qui se fait toujours en plusieurs étapes et commence par la numérisation, c'est-à-dire la transformation des fichiers en objets numériques et stockés. Des étapes qui, au départ, étaient gérées à des moments différents, par des services différents, et en impliquant des techniques variées : gestion documentaire, archivage sécurisé, dématérialisation des processus...

Il ne cesse pas de grossir, ne court plus assez vite et n'arrive pas à ingérer la nouveauté. Notre Code du travail et ses 3 000 pages semblent condamnés par les lois de l'évolution, incapable de suivre l'accélération de la mutation du travail. C'est qu'il reste désespérément accroché à une forme d'emploi aujourd'hui dépassée, celle de l'ouvrier travaillant à l'usine sous les ordres d'un contremaître. Alors qu'émerge de plus en plus la figure du travailleur mobile et autonome. N'est-il pas temps d'imaginer enfin le droit des travailleurs du XXIe siècle ?