Le coronavirus ayant vidé les campus, les "business schools" sont passées à l'enseignement à distance. Avec une grande efficacité. Sommaire. Ecoles de commerce, les meilleurs masters à la loupe. Accréditation AACSB, le sésame des écoles de commerce. Maurice. Une stratégie de hub éducatif qui a fait ses preuves. Rwanda. Entrepreneurs en herbe à l'ALU. Management et Tech, télétravail un jour, télétravail toujours.

La croissance forcée du télétravail lors de la pandémie de Covid-19 incite de nombreuses entreprises françaises à repenser leur organisation. Selon une étude de JLL, 28% d'entre elles envisagent de réduire la taille des murs qu'elles possèdent suite à cette crise, tandis que 66% prévoient de généraliser le télétravail. Elles pourraient ainsi réaliser des économies importantes. Quelques données chiffrées.

Voilà des années que ces salariés là pratiquent le boulot à la maison cinq jours sur sept. Ils en connaissent les avantages et les limites.

Vivre nulle part et travailler partout : certain·es en rêvent, d'autres le font. Rencontre avec des "digital nomads" qui ont choisi de voyager toute l'année avec leur ordinateur sous le bras. Un mode de vie qui, avec le développement du télétravail, pourrait en inspirer plus d'un·e ? Mais à quel prix pour la planète ?

La crise sanitaire pousse certaines entreprises et des cadres à opter pour cette nouvelle forme d'organisation. Sans toujours bien en mesurer les conséquences.

La crise provoquée par le nouveau coronavirus a engendré une transformation profonde et brutale de l'organisation du travail en encourageant, notamment, le développement massif du télétravail. Selon une étude de l'Ademe de juin 2020, 41,6 % des actifs français ont en effet connu cette forme de travail pendant le confinement national, contre 12,5 % en temps normal. L'épidémie va-t-elle accélérer un changement plus profond, mais déjà amorcé, dans nos rapports au travail ?

Blafard, hagard, laid, filmé dans un décor aléatoire, parfois dégoûtant : le télétravailleur invité à participer aux réunions Zoom Zoom n'est pas toujours à son avantage. Nos conseils pour assurer face à l'oeilleton plus ou moins hostile d'un ordinateur.

Bien sûr, chacun doit porter un masque pour soi-même et pour ses concitoyens. Mais à condition de ne pas en faire le nouvel emblème de l'isolement social, le dangereux auxiliaire de l'ubérisation économique, constituée de télétravail et de précarité salariale. L'enfer, ce n'est pas les autres.

Jusqu'ici peu plébiscitée par les employeurs, la pratique du télétravail s'impose de plus en plus dans le secteur privé et la fonction publique en raison du contexte sanitaire. Si tous les métiers ne peuvent pas s'exercer à distance, cette forme d'organisation professionnelle fait figure de nouveau modèle potentiellement durable. Faut-il s'en réjouir ? Les femmes ont-elles intérêt à travailler de chez elle ? Oui sont les gagnantes de cette petite (r)évolution ?

La crise sanitaire liée à la pandémie de Covid-19, démarrée au printemps 2020, a accéléré les changements déjà en cours dans le monde du travail en France et a déclenché une remise en question radicale des espaces et des modes de travail. Deux grandes transformations se distinguent. Premièrement, le lieu de travail n’est plus tant un lieu physique qu’un espace virtuel. Deuxièmement, la pandémie a fait apprécier aux dirigeants non seulement les compétences cachées des collaborateurs, mais aussi leur environnement personnel. Décryptage. Pas de chiffres.

Subitement mis en lumière par la pandémie de Covid-19, le télétravail s’est imposé en quelques mois comme le moyen efficace de maintenir une partie de l’activité économique durant la crise, et comme une pratique viable, durable et même confortable pour des millions de travailleurs dans le monde. Mais, au-delà de ces bénéfices immédiats, quel rapport aux autres, à nous-mêmes et, en définitive, au monde, cette modalité de travail instaure-t-elle ? Cette réflexion critique vise à ouvrir le débat.