Il est de l'intérêt des actionnaires de ne pas complètement contrôler les entreprises...

Durable ou pas, la baisse du prix du pétrole est difficile à prévoir. Mais si tel était le cas, les conséquences en sont multiples. En voici d'ores et déjà six.

Après avoir combattu les incendies financiers à la Fed, son ancien président se dit soulagé de ne plus prendre de "décisions diffi ciles". Martin Wolf l'a rencontré à Chicago.

Comment expliquer la hausse du taux d'inactif de certaines classes d'âge aux Etats-Unis ?

Vieillissement des entreprises, mondialisation et nouvelles technologies sont autant d'explications de la baisse du ratio investissement/épargne.

Avantages et inconvénients des accords commerciaux plurilatéraux proposés par les Etats-Unis.

Nous n'avons pas besoin de plus de finance, mais d'une meilleure finance. Oui, cela pourrait aussi se terminer par considérablement moins de finance.

Traiter le défi du changement climatique comme un problème d'assureurs est stimulant intellectuellement. Et pas qu'intellectuellement.

Des chiffres et des solutions pour au moins tenter de repousser la catastrophe du changement climatique.

Tout ce que les autorités chinoises ont expérimenté ces sept dernières années a aggravé la situation.

Que la Grèce et les Européens divorcent ou non, le problème demeurera.

Le point de vue selon lequel de faibles taux d'intérêt réels sont désormais une donnée à long terme de l'économie mondiale est tout à fait plausible.

Les leçons de l'élection d'un "gauchiste" sans expérience

La dernière chose que l'Union voulait avoir à traiter est une vague de réfugiés.

Que la Grèce sorte ou non de l'euro, cela doit être le résultat d'une décision partagée et d'un processus réfléchi.

Deux raisons de douter et deux raisons d'espérer voir le modèle de croissance chinois se stabiliser dans la durée.

Martin Wolf revient sur le livre "The second Machine Age", sur l'intelligence artificielle et les robots, et propose ici quelques solutions à leur inéluctable destruction demplois.

La colossale épargne chinoise, une fois libérée, peut tout aussi bien ébranler l'économie mondiale qu'aider la Chine à se réformer en profondeur.

Telle est l'analyse de Martin Wolf, qui vient ainsi combler une lacune du « Capital au XXIème siècle », le best-seller international et inattendu de l'économiste français Thomas Piketty.

La Chine est-elle différente ? Ou sa frénésie d'emprunts et de dettes, comme celle de la plupart des autres pays, finira-t-elle mal ?

Sir Mervyn King, le gouverneur de la Banque d'Angleterre, invite Martin Wolf dans l'un de ses restaurants préférés de l'Ouest londonien. Il évoque son départ, les solutions pour l'euro et ″l'audace du pessimisme″, alors que son mandat de dix ans à la tête de la Banque d'Angleterre touche à sa fin...

La Chine effraie l'Occident. Mais comment la Chine perçoit-elle le monde ? Les Occidentaux ne se posent pas la question. Oui, elle a fait d'énormes progrès économiques. Mais elle voit que l'économie mondiale est encore dominée par les économies développées.

L'année 2014 est riche en commémorations : c'est non seulement l'année du centenaire de la Première Guerre mondiale, mais également celle de l'anniversaire du débarquement des Alliés trente ans plus tard, en juin 1944, sur les plages de Normandie pour libérer l'Europe du nazisme, et enfin, celle de la commémoration des vingt-cinq ans du début de l'effondrement de l'Union soviétique en 1989, événement marquant la fin de la guerre froide qui avait divisé le monde pendant plus de quarante ans.

Si les avancées technologiques ont, au cours de l'histoire, été la source de progrès sociaux et économiques, et ont permis à l'homme de vivre plus longtemps et en meilleure santé, ce serait, pour l'éditorialiste du "Financial Times", Martin Wolf, une erreur de s'abandonner aujourd'hui au « techno-optimisme ». Selon lui, les nouvelles technologies créées par la révolution numérique de la fin du XXe et du début du XXIe siècle sont très loin de générer des bénéfices économiques et sociaux équivalant par exemple à une invention comme le tout-à-l'égout au XIXe siècle.

Si de nombreux enseignements ont été tirés de la crise financière et économique de 2008 - une crise que bien peu avaient vu venir -, les autorités de régulation ne sont pas, selon Martin Wolf, éditorialiste au "Financial Times", allées suffisamment loin dans la définition d'un nouveau régime de régulation. La "nouvelle orthodoxie" en matière de politique monétaire renforce indéniablement le cadre réglementaire et la stabilité macroéconomique mais elle n'est, à ses yeux, qu'une version corrigée de l'ancienne et laisse encore ouverte beaucoup de questions.

Le bilatéralisme commercial prôné par l'administration Trump est une chimère. Il ne fonctionnera pas et provoquera des dégâts énormes. Il doit être enterré.

Le 8 novembre 2016, le Premier ministre indien Narendra Modi annonçait que les billets de 500 et 1 000 roupies (valant respectivement environ 7,50 et 15 dollars) étaient démonétisés avec effet immédiat.

La présidence de Donald Trump signe la fin de l'ordre mondial conduit par les Etats-Unis.

Dans un premier temps, légiférer sur le travail pour faciliter les embauches et modifier la trajectoire de la dépense publique. Puis s'attaquer à la réforme de la zone euro.

Dans un premier temps, légiférer sur le travail pour faciliter les embauches et modifier la trajectoire de la dépense publique. Puis s'attaquer à la réforme de la zone euro.