L’épreuve d’une extraordinaire brutalité que traverse notre système de soins devait remettre au centre du jeu des ingrédients essentiels : un zeste de solidarité nationale, de la confiance envers les soignants et la juste reconnaissance de leur engagement. Que reste-t-il de cet espoir, un an après le début de la pandémie ? Le programme de dépistage a donné naissance à un marché désorganisé, offrant à quelques acteurs opportunistes de juteux effets d’aubaine, pendant qu’une main-d’oeuvre précaire se retrouve, par endroits, surexploitée.

Une équipe de chercheurs français menée par un oncologue, le Dr Fabrice Denis, devrait lancer une application au printemps 2019 permettant d'identifier beaucoup plus tôt les signes de cancer du poumon ou de maladie cardia-vasculaire. Une chance supplémentaire pour les malades.

De nouvelles avancées scientifiques pourraient permettre de mieux repérer les patients atteints de tumeurs agressives. De quoi, potentiellement, sauver plus de 8000 Français par an.

La France a tardé à faire tester massivement sa population. Entre manque de matériel et délais d'approvisionnement, les obstacles demeurent.

Alors que l'épidémie recommence à galoper en France, l'urgence est de définir une stratégie plus claire afin de l'enrayer.

Le déploiement à grande échelle de cette nouvelle arme antivirus va à l'encontre de l'avis de la Haute Autorité de santé.

Ces dépistages rapides peuvent désormais être proposés aux salariés volontaires. Les demandes affluent, disent les labos.

Si la plupart des personnes infectées par SARS-CoV-2 ont des symptômes modérés, des syndromes de détresse respiratoire peuvent s’installer. Les mécanismes par lesquels le virus se propage dans le corps, les réponses immunitaires complexes et les variations interindividuelles expliquent ces différences. Sommaire. Pourquoi le coronavirus rend-il malade ? Une course mondiale aux traitements. Les tests de dépistage, clés du déconfinement. Les chercheurs à l’heure du confinement.

Anticiper les problèmes de santé pour mieux les éviter. Voici nos conseils pour mettre toutes les chances de son côté.

En identifiant des fragments d’ADN et des protéines de cellules cancéreuses, une équipe de chercheurs américains et australiens a conçu un test, baptisé CancerSeek, pour repérer dans le sang l’existence d’une tumeur à un stade précoce. Une analyse dont la sensibilité doit encore être améliorée.

Le prélèvement vaginal à réaliser soi-même à l'aide d'un coton-tige s'avérerait aussi efficace qu'un frottis pour détecter la présence de cette IST. Une piste pour atteindre les 40 % de femmes qui échappent actuellement au dépistage.