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Dupieux, Quentin (1974-....)

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Quentin Dupieux, connu aussi sous le nom de Mr. Oizo quand il tâte de l'electro, revient en juillet 2018 avec son septième long métrage, "Au poste !" A l'affiche de ce quasi-huis clos en commissariat, Grégoire Ludig, moitié du Palmashow, joue le suspect pas très idéal. Echanges en rafale autour de l'indépendance, du cinéma, de l'humour ...
Numéros de page :
pp.34-39

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"Au poste !" de Quentin Dupieux De retour d'exil cinématographique, le cinéaste s'adonne aux joies des dialogues barrés et acclimate sa bizarrerie à une esthétique française jusqu'à la nostalgie.
Numéros de page :
pp.74-75

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Après la jubilation procurée par les récits gigognes de "Réalité", "Au poste !" affiche des atours plus modestes et moins ouvertement insolites. Pour son premier film "dans le cinéma français", Dupieux joue le jeu du casting attractif-mais-décalé (Poelvoorde en tête d'affiche entouré de partenaires venus d'horizons très divers : comique internet pour Grégoire Ludig, stand-up pour Marc Fraize, cinéma d'auteur pour Anaïs Demoustier, musique pour Orelsan) tout en s'imposant la contrainte du huis clos. Sommaire. L'air du soupçon. Ouvrir l'oeil et le bon : entretien avec Quentin Dupieux.
Numéros de page :
pp.68-73

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Jean-Sébastien Chauvin signe la critique du film dans son article intitulé "Les franges de la réalité". Joachim Lepastier interroge le réalisateur sur le tournage du film.
Numéros de page :
pp.50-53

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En près de vingt ans et treize longs-métrages, Quentin Dupieux est passé de cinéaste autodidacte adulé des seuls cinéphiles sensibles à son humour étrange à poids lourd du cinéma hexagonal. Venu de la musique électronique, l'auteur de "Daaaaaali !" et "Yannick", un demi-million d'entrées chacun, est le plus prolifique des réalisateurs français. Le triomphe d'une formule efficace : des films courts, peu cher, tournés à toute allure, avec un casting de rêve.
Numéros de page :
pp.68-71

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Dans "Le Daim" de Quentin Dupieux, Jean Dujardin joue un homme habité par une idée fixe. Un type de personnage récurrent dans la filmographie de cet acteur qui, ultra-bankable, n'en reste pas moins peu sûr de lui. Sommaire. Jean Dujardin : "Je suis encore en recherche". Quentin Dupieux : "Il y a fusion au cours du tournage". Flat is back.
Numéros de page :
pp.18-26

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Avec "Mandibules", son huitième long métrage, Quentin Dupieux signe un film léger et joyeux, un "feel-good movie" comme une journée d'été sur la Côte d'Azur. A l'occasion, enfin, de sa sortie en salle le 16 décembre, le cinéaste évoque son univers empreint d'inconscient et de musicalité, et la famille d'acteurs et d'actrices qu'il a su réunir au ni de son parcours.
Numéros de page :
pp.10-14, 16, 18

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C'est peu de dire que Joan Le Boru travaille sur mesure pour Quentin Dupieux, dont "Le Deuxième Acte" ouvre la 77e édition cannoise et sort simultanément le 14 mai 2024. Directrice artistique et cheffe décoratrice de ses films depuis "Wrong" (2012), elle importe sa pratique antérieure de l'édition artisanale pour imprimer au cinéma de son mari une cohérence visuelle qui évite le 'total look' factice.
Numéros de page :
pp.22-25

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Bulletin : Le Point 2625
Il est le plus loufoque des cinéastes, mais toutes les stars veulent tourner avec lui. Rencontre sans filtre avec le réalisateur de "Fumer fait tousser".
Numéros de page :
pp.108-109

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Date parution pério
2024-05-16
Dans "Le Deuxième Acte", qui ouvre le Festival, le réalisateur de "Yannick" filme avec une féroce allégresse l'univers impitoyable du cinéma français, entre fiction et réalité. Et refuse d'en parler à la presse. Portrait d'un iconoclaste.
Numéros de page :
pp.69-71