A l'occasion de l'événement organisé le 17 octobre pour les décideurs de la transformation digitale du retail, LSA tech for Business, nous sommes allés à la rencontre des pilotes de la stratégie numérique de onze enseignes non alimentaires. Sommaire. Les milles vie des patrons du digital des enseignes non alimentaires. Alexis Masset : un directeur passionné de technologie chez Leroy Merlin. Olivier Theulle : l'homme de Fnac Darty qui avait pour mission de rattraper Amazon. Annaïg Jermelus : un parcours atypique pour piloter l'e-commerce de JouéClub.

La loi pour la réduction de l'empreinte environnementale du numérique de novembre 2021 comporte de nouvelles obligations. Les communes et les EPCI à fiscalité propre de plus de 50 000 habitants sont tenus d'élaborer leur stratégie numérique responsable. Des outils sont déjà disponibles pour, d'une part, mettre en place un programme de travail préalable, d'autre part, bâtir une véritable stratégie numérique responsable. Pas de chiffres.

Un projet, qu'il soit de dématérialisation ou autre, ne se réalise pas seul. La répartition des rôles et leur compréhension par chacun des acteurs sont bien souvent un facteur déterminant pour réussir. Méthodologie pour identifier les acteurs d'un projet et leur attribuer les rôles essentiels.

Responsable de 3 à 4 % des émissions de gaz à effet de serre françaises, le numérique est lui aussi sommé de réduire son empreinte environnementale en France, auquel cas cette dernière pourrait atteindre les 7 % en 2040. Pourtant, cette problématique reste peu évoquée : selon une enquête Serda-"Archimag" de 2021 sur la gouvernance de l'information numérique, 81 % des répondants n'ont jamais mené de bilan carbone sur la dématérialisation.

Outil de gestion de contenu d'entreprise, la Ged doit être choisie avec minutie par les organisations selon leurs besoins, leurs attentes, leur préférence, etc. Sept critères peuvent être particulièrement importants : numérique écoresponsable, open source ou propriétaire, saas ou on-premise, standards, normes et agréments, fonctionnalités, collaboratif et modules.

L’effervescence qui règne autour de l’IA contraste avec le marasme actuel du monde de la tech. Une enquête a révélé que cette année, 50 % des entreprises du monde avaient essayé d’utiliser l’IA d’une manière ou d’une autre, contre 20 % en 2017. Article extrait de "The Economist". Quelques données chiffrées.

Les leçons de McKinsey sur les choses à ne pas faire. Le chemin pavé de briques jaunes vers l’intelligence artificielle générative (IA) est un chemin long et difficile, parsemé d’échecs, dont Lego est l’une des rares réussites. Pas de chiffres. Article extrait de "The Economist".

La cybersécurité est un incontournable de la transformation numérique bien menée car elle en assure la pérennité. Lorsqu’elle est insuffisante, elle représente un danger qui nécessite de moderniser rapidement les systèmes informatiques.

Données perdues après une panne, difficultés à redémarrer après une cyberattaque… Certaines entreprises ou collectivités en ont fait la douloureuse expérience : confier les clefs de son hébergement en cloud à un prestataire ne suffit pas pour s’assurer que ses données sont à l’abri. Pour limiter les risques, une stratégie hybride de sauvegarde de la data et de résilience doit être pensée en amont. De ce point de vue, l’émergence des sauvegardes en cloud n’a pas tué l’intérêt de sauvegardes locales, qui offrent un niveau de sécurité supplémentaire sur des supports de complément.

Qui maîtrise la dépense informatique des collectivités ? Les logiciels, ordinateurs, ressources humaines, infrastructures et projets innovants ont des coûts très différents, qui dépendent des services internes ou mutualisés. Les dépenses informatiques représentent environ 2% du budget des collectivités. Cela inclut le personnel, les équipements, les licences de logiciels et la prestation de service. Ce budget augmente de près de 4% par an. Les évolutions technologiques et réglementaires s'enchaînent, imposant leurs besoins.