Elle s’appelle Wagner et suscite de nombreux fantasmes. Cette société privée russe envoie ses mercenaires combattre en Afrique. Une présence discrète sur laquelle "Le Temps" a mené l’enquête.

En l'absence d'un accord politique, introuvable, entre belligérants, la solution militaire - et le chaos - continue de prévaloir. Tandis que la Turquie et la Russie s'imposent comme les nouveaux acteurs clés de la crise.

Depuis le lancement de l'offensive de Haftar il y a dix mois, la capitale est sous la menace d'un déluge de feu. Mais la vie continue, comme si de rien n'était... ou presque.

Le siège de la capitale a fragilisé encore un peu plus la situation des centaines de milliers de migrants vivant sur place, qui doivent à la fois fuir les combats, la xénophobie, le racket, la misère et la peur.

Officiellement, Paris reconnaît la légitimité du gouvernement de Tripoli et soutient le processus politique. Mais, dans les faits, c'est au controversé Khlaifa Haftar que vont ses faveurs. Genèse d'une relation aussi privilégiée que risquée. Tableaux.

La démission attendue de Fayez al-Sarraj est le prélude à la mise en place de nouvelles institutions politiques unifiées. Mais la multiplication des candidatures aux principaux postes du futur exécutif a grippé le processus de réconciliation nationale.

Dès les premiers jours de l'indépendance, en mars 1956, un régime dual s'installe en Tunisie. D'un côté, il poursuit la modernisation des structures sociales et l'édification d'un jeune Etat ancré dans le XXe siècle. De l'autre, il incarne un pouvoir autoritaire dont l'essoufflement progressif provoquera l'atonie de la vie politique ainsi que plusieurs crises sanglantes. Sommaire. Bourguiba, un destin tunisien. Une Constituante contre la monarchie. L'échec de l'expérience collectiviste. Une vision bourguibienne pour la Palestine; entretien avec Jean Lacouture.

Al-Nour fuit le Soudan pour la Libye. Sans rien avoir demandé, victime de milices financées par l'Europe, il se retrouve à Paris. Hypocrite, l'Union refuse de voir l'échec de sa politique migratoire. Al-Nour veut la mettre face à ses responsabilités.

Airbus aurait bien payé un agent pour une vente d'avions à Tripoli en 2007. Les enquêteurs soupçonnent Claude Guéant d'avoir bénéficié d'une rétrocommission.

Correspondante de CNN à Londres, cette journaliste anglo-soudanaise est une habituée des zones de conflits. Son dernier scoop ? La vidéo d'une vente aux enchères de migrants en Libye.

Déchirées par une guerre fratricide, les tribus libyennes sont encouragées et armées par des pays voisins qui se livrent une guerre par procuration. Cynique, la communauté internationale ferme les yeux. Révélations.

Escalade du conflit, multiplication des belligérants, activisme de la Turquie et de la Syrie... La Libye, à quelques centaines de kilomètres des côtes européennes, est devenue une nouvelle Syrie.