En maintenant la chrétienne Asia Bibi en détention pour blasphème, l'Etat pakistanais abdique devant les prêcheurs de haine. Retour sur une puissance nucléaire aux mains des obscurantistes.

Après un attentat au Jammu-et-Cachemire, les nationalistes hindous s’en prennent à la population cachemirie dans tout le pays. Et les politiciens exploitent la situation, déplore cet historien.

Dans cette région divisée entre l’Inde et le Pakistan, les armées des deux pays procèdent régulièrement à des échanges de tirs. Au mépris des civils qui vivent près de la ligne de démarcation.

Pour ce célèbre édiorialiste indien, la décision brutale du gouvernement Modi de passer sous tutelle fédérale l’État du Jammu-et-Cachemire est une trahison qui risque d’avoir de graves conséquences. Véritable humiliation pour une région à majorité musulmane, elle risque d’accélérer la radicalisation dans le reste du pays.

Afin de continuer à tirer les ficelles du pouvoir, le chef des armées a fait plier la justice. Pour mieux prendre ensuite les rênes du pays ?

Et la nouvelle génération miser désormais davantage sur le Qatar.

Moins connu que son célèbre voisin l'Himalaya, le massif du Karakoram est le royaume des glaciers et des hauts sommets. Des alpinistes sy sont aventurés pour rallier le Muztagh Pass, un col qui na été franchi que cinqfois au cours des 150 dernières années.

Une adolescente norvégienne de 14 ans «renvoyée» au Pakistan, pays de ses parents... C'est l'histoire d'Iram Haq, réalisatrice du film «La mauvaise réputation».

L’entrepreneur pakistanais Arif Naqvi a créé Abraaj à Dubaï, en 2002, pour gérer 116 millions de dollars appartenant à des investisseurs du Proche-Orient. Seize ans plus tard, un portefeuille de près de 14 milliards de dollars avait hissé le groupe au rang de plus importante société de capital-investissement spécialisée dans les marchés émergents. Puis ce fut la chute.

Une expérience étonnante a été tentée au Pakistan : pour améliorer la performance des fonctionnaires de l'Etat, leur a été proposé le choix de leur lieu d'affectation, plutôt qu'une augmentation.

Après plusieurs tentatives, l’ancien joueur de cricket Imran Khan a accédé au pouvoir au Pakistan, le 17 août 2018, et dirige un gouvernement de coalition. Son discours anticorruption et son projet d’un "nouveau Pakistan" ont séduit 32 % des électeurs et permis à son parti d’arriver en tête à l’Assemblée nationale, avec 116 sièges (sur 272). Mais rien n’aurait été possible sans le soutien plus ou moins visible des militaires.