Face aux menaces que constituent pour lui Valérie Pécresse et Xavier Bertrand. Laurent Wauquiez choisit le passage en force. Sommaire. Y-a-t-il quelqu'un pour sauver la droite ? Valérie Pécresse, l'air de rien. Dans un mouchoir de poche. Bertrand ne veut plus jouer de la flûte.

Porteuse d'un programme ordolibéral sur le plan économique, répressif sur le plan sécuritaire, la présidente de la région Ile-de-France entend réconforter les électeurs de droite. Quitte à verser dans le classicisme.

Après le congrès du parti LR, la répartition des rôles entre les anciens rivaux est claire : Eric Ciotti doit retenir les électeurs de droite tentés par le zemmourisme, Valérie Pécresse faire revenir les séduits du macronisme. Lesquels risquent d'être effrayés par un discours trop droitier...

Dans une précampagne présidentielle marquée par le grand nombre des candidats à la candidature, la présence concomitante d’Anne Hidalgo et de Valérie Pécresse, qui visent à représenter les deux principaux partis de la Ve république, annonce un possible tournant dans l’histoire politique de notre pays.

En 2019, elle avait quitté un temps Les Républicains, fustigeant la "droitisation" du parti. Cette fois-ci investie candidate de la droite, la présidente de la région Île-de-France n’hésite pas à donner à sa campagne des accents traditionalistes et nationalistes, comme l’explique cette journaliste allemande.

Victorieuse au congrès LR, la candidate espère à présent ringardiser Macron et Zemmour. L'équation pour y parvenir ? Elargir sa base et rendre coup pour coup.

La candidate LR aura longtemps attendu un geste de soutien de l'ancien président, cajolé en coulisses par la macronie en vue des législatives.

Une troisième défaite pourrait être fatale aux Républicains. Ce qui se trame au sein du parti.

Ses divergences avec Laurent Wauquiez ne font pas renoncer la présidente de la région Ile-de-France à un projet commun. Explications.

La présidente de la région Ile-de-France critique le jacobinisme de Macron et livre sa version du "réformisme désirable".

Dans « Et c'est cela qui changea tout » (Robert Laffont), la présidente de Libres ! fend l'armure.

C'est la première fois que l'ex-candidate à la présidentielle se confie longuement sur son échec en 2022. Et, face à une France fracturée, exhorte Macron au sursaut.