La digitalisation de l'économie a fait flamber la valeur des entreprises technologiques. Une tendance alimentée par la spéculation. Mais l'inquiétude gagne les marchés financiers. Détails. Quelques données chiffrées.

Ces deux dernières années, nombre de particuliers ont tenté l'aventure sur ce marché. Son krach les secoue furieusement.

Après plusieurs années d'euphorie, de promesses d'argent facile et de discours futuristes sur le "Web3" et la "révolution blockchain", le marché des cryptomonnaies enchaine, depuis quelques mois, les mauvaises nouvelles, entre dégringolade du cours du bitcoin et faillites en cascade. Depuis, crypto-adeptes et crypto-sceptiques s'affrontent : simple tempête passagère ou fin d'un grand mirage collectif ?

Surfant sur sa connaissance des systèmes de contrôle de la Société générale et sur la culture de l'argent à tout prix qui prévaut dans sa salle de marchés, Jérôme Kerviel a pu miser près de 50 milliards d'euros. Avec une perte finale de 5 milliards d'euros pour la banque, ce Français détient le record mondial du "rogue trader", opérateur de marché pourri.

En un an, les prix alimentaires ont flambé de 30%. Pourtant il n’y a pas de pénurie malgré la guerre en Ukraine. Les responsables sont des spéculateurs qui jouent avec les cours des produits.

Des cryptomillionnaires rêvent de construire des villes privées autonomes en partant de zéro. Mais, du Salvador au Honduras, leurs projets reproduisent plutôt les erreurs du passé colonial.

Après avoir bénéficié du plan d'aide aux Américains affectés par la pandémie, certains détenus ont décidé d'investir dans des actions. Partis de rien, ils ont dû tout apprendre. Dans la douleur, raconte l'un d'eux.

Elle avait observé, horrifiée, le plongeon des monnaies malaisiennes, thaïlandaises, indonésiennes, et coréennes, de la Thaïlande, confrontées aux coups de boutoir spéculatifs de George Soros.

Si la récolte en cours s'annonce moins désastreuse que prévu, le risque d'éclatement de la bulle spéculative qui gonfle depuis trois ans demeure.

La pénurie de beurre qui touche la France depuis trois bonnes semaines n'est que la conséquence d'une gestion lamentable de la filière. Révoltant. Sommaire. La vérité sur la crise du beurre. Retour à la baratte française.