C'est une question qui se décline à l'infini. À quoi sert-il de travailler ? Le travail a-t-il un sens, et donne-t-il un sens à nos vies ? Le travail nous rend-il heureux (ou malheureux s'il est pénible, débilitant, contraint, non choisi) ? Notre avenir est-il dans le travail, dans moins de travail ? Ou le travail est-il sans avenir parce que l'intelligence artificielle, l'automatisation ou le revenu universel viendront demain le vider de sa substance ?

Il y a les démotivés, et ceux qui mentent pour mieux concilier vie professionnelle et vie familiale. Mais il y a aussi des travailleurs à distance qui en font plus qu’ils ne devraient et préfèrent le cacher.

Depuis la pandémie, les États-Unis et le Royaume-Uni étaient les champions du télétravail. Un grand nombre de salariés étaient à distance 100 % du temps. Mais “la bulle du télétravail a éclaté”, écrit le "Daily Telegraph". Les mastodontes de Wall Street et les géants de la tech, qui doutent désormais de la productivité de cette organisation, sont à l’origine de ce retour de balancier. S’oriente-t-on vers un retour massif au bureau? Un peu partout, la résistance s’organise. Sommaire. Tous au bureau ! Faire revenir les employés à tout prix. Le bureau à 100 %, ce n'est pas pour demain.

Les confinements ont définitivement fait basculer le travail dans l'ère du numérique. Des stratégies d'adaptation, tant collectives qu'individuelles, doivent être mises en place pour limiter les effets néfastes des outils et usages digitaux sur les conditions de travail. Détails. Pas de chiffres.

Bien-être, productivité, vie familiale, fidélisation des employés... Le télétravail a de multiples retombées positives. A condition de trouver le bon dosage.

Le télétravail est un paradoxe : alors que ses avantages sont mis en avant depuis plus d'une trentaine d'années et que des travaux de prospective prédisent depuis longtemps son essor, il est resté longtemps limité en France. Mais depuis quelques années, il semble enfin décoller : au 3 juin 2019, 1072 entreprises françaises disposent d'un accord sur le télétravail, soit près de deux fois plus que début 2018. Ceci correspond à moins de 15 % des ETI et des grandes entreprises françaises (les principales concernées par ces accords). Détails. Quelques données chiffrées.

Les organisations françaises feraient partie des championnes européennes du télétravail. Plus de deux sur trois autorisent à des degrés divers, leurs salariés à travailler depuis leur domicile ou des tiers-lieux. Se pose alors la question de leur équipement.

Quand on travaille à la maison - surtout si de enfants ont présents - on a parfois l'impression de se disperser et de perdre en efficacité. Pourquoi ? Et comment trouver la bonne attitude ?

La revue "Futuribles" n’a pas vocation à traiter des sujets d’actualité. Mais pour tenter d’explorer ce qui peut advenir, encore faut-il d’abord essayer de discerner dans le présent, au-delà de ce qui fait l’écume des jours, quelles sont les tendances lourdes et émergentes, ainsi que les discontinuités et les ruptures qui peuvent intervenir et modifier leur trajectoire. Et selon leurs capacités d’anticipation, certes toujours imparfaites, les acteurs en subiront ou en contrôleront plus ou moins les effets.

A l'heure du confinement de 2020, disposer d'une digital workplace, un environnement de travail numérique et nomade, devient crucial pour de nombreux collaborateurs au sein des organisations. Outil quotidien qui permet aussi bien de remplir ses tâches que de collaborer avec ses collègues à travers diverses fonctions (partage de documents, outils de gestion de projet, etc.), la digital workplace s'impose peu à peu comme une incontournable.

Qualité de la connexion, confidentialité des échanges grâce au VPN, plateformes de travail collaboratif, réseaux sociaux d'entreprises.... Les outils dédiés au télétravail s'enrichissent de nouvelles fonctionnalités pour mieux aider les salariés à travailler à distance.