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Films politiques

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Auteurs
Bulletin : Politis, 1671
Dans "Le Genou d’Ahed", Nadav Lapid met en scène un cinéaste en révolte contre son pays, Israël. Il explique ici les liens intimes et politiques qui l’ont amené à réaliser ce film époustouflant.
Numéros de page :
pp.24-26

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Beaucoup de films vus à Cannes opposent à la violence du monde la dureté d'une lecture critique. Mais l'un deux les surpasse tous : le plus grand film politique du festival, notre palme idéale, "120 battements par minute" de Robin Campillo.
Numéros de page :
pp.54-55

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Auteurs
Bulletin : Première 493
En tant que vice-président de George W. Bush, Dick Cheney a planifié l'invasion de l'Irak, restreint les libertés publiques américaines, encouragé l'usage de la torture... Roi de la comédie US reconverti en auteur à Oscars, Adam McKay explique pourquoi, dans "Vice", il a choisi d'en rire plutôt que d'en pleurer.
Numéros de page :
pp.48-53

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Auteurs
Bulletin : L'Express 3528
Le formidable "Vice" réactive un cinéma politique américain étrangement absent depuis l'élection de Donald Trump. A moins que... Enquête.
Numéros de page :
pp.84-87

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Auteurs
Dans son documentaire "Santiago, Italia", l'auteur du "Caïman" évoque le coup d'Etat de Pinochet au Chili en 1973 et... l'Italie d'aujourd'hui. Rencontre avec un metteur en scène plus que jamais passionné par la politique.
Numéros de page :
pp.72-73

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Auteurs
Comment un être privé de communication parvient-il à conserver son humanité ? C’est la question au coeur de "Companeros", qui relate l’incarcération de trois opposants politiques lors de la dictature.
Numéros de page :
pp.18-19

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Avec "Dark Waters", racontant la lutte contre une multinationale empoisonneuse, Todd Haynes persiste, dans le contexte dévasté du trumpisme, à faire des films esthétiquement soignés et politiquement engagés. Portrait d'un idéaliste. Sommaire. Loin du paradis. Une terre encore promise.
Numéros de page :
pp.50-57

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Avec "Dark Waters", Todd Haynes plonge dans le présent le plus brûlant en retraçant le combat d'un avocat contre une société de produits chimiques qui pollue la terre et contamine les hommes. Un thriller politique dont le cinéaste nous raconte la genèse et l'urgence.
Numéros de page :
pp.30-34

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Actu 68 : état des lieux des sorties films, DVD, salle autour de l'événement- et de l'actualité de ces films aujourd'hui.
Numéros de page :
pp.90-94, 96-102

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Date parution pério
2018-06-07
L'écrivain, cinéaste et chroniqueur prend fait et cause pour les "exilés" dans un documentaire très personnel et un pamphlet virulent en forme de lettre ouverte à Macron. Rencontre.
Numéros de page :
pp.46-48

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Date parution pério
2018-12-01
Certains s'en réjouissent (pas tous), la politisation souvent spectaculaire qui s'était emparée de chaque secteur de la société française après mai 1968 subit un reflux qui peut sembler inexorable. Fenêtre ouverte sur le monde, le cinéma témoigne volontiers de cette propension à désormais regarder ailleurs ... Il reste pourtant quelques résistants qui, régulièrement, nous rappellent que l'homme ne vit pas que d'amour et d'eau fraîche et qu'il s'inscrit dans un rapport de classes qui survit autrement à la disparition progressive de l'identité ouvrière classique.
Numéros de page :
pp.4-122

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Date parution pério
2019-10-01
Quand dans plusieurs siècles (et sans doute avant) on cherchera à définir ce qu'était le travail au tournant de l'an 2000, nul doute que l'on se penchera sur l’oeuvre de Ken Loach. "The Navigators" traitait de la déliquescence du service public, "It's a free world" de l'irruption de méthodes de gangsters dans le pacte social, "Moi Daniel Blake" de la façon dont les hommes sont broyés par un système qui n'a plus le moindre état d'âme depuis que tout s'est informatisé, etc. "Sorry, we missed you", traite quant à lui de l'uberisation galopante de notre monde.
Numéros de page :
pp.108-113