Une autre approche de la start-up.

Le deuil. En langage corporate, ce mot est tabou. Pourtant, non seulement dans les entreprises le phénomène existe mais il est même de plus en plus fréquent puisqu'il survient chaque fois qu'un élément structurant de la vie professionnelle disparaît. Qu'il s'agisse d'un site qui ferme, d'un manager remercié ou d'un projet abandonné, ces simples variables d'ajustement dans les politiques d'entreprises peuvent, à l'échelle des salariés, se traduire par un sentiment de perte dont la capacité de nuisance reste largement sous-estimée.

Décryptage, en août 2010, de la fonction de Directeur de services généraux (DSG) et son évolution au sein des entreprises françaises. Complexe, la fonction recouvre une vingtaine de métiers, à savoir la gestion de l'ensemble des ressources de l'entreprise. En perpétuelle évolution, la DSG est désormais au coeur de l'action économique, sociale et environnementale de l'entreprise. Certaines entreprises, dans un but d'économies, en viennent à externaliser la fonction auprès de cabinets d'optimisation des coûts. Une solution qui présente des avantages et aussi des limites. Peu de chiffres.

Zoom, en septembre 2010, sur l'immobilier d'entreprise en France et la question que se pose toute entreprise : acheter ou louer ? L'immobilier représente le deuxième poste de coût après les salaires pour l'entreprise. Si le contexte actuel favorise l'achat (un gage de stabilité qui peut répondre à une logique patrimoniale) ; la location est préférée par les TPE et PME qui recherchent la flexibilité. Ainsi, selon le baromètre l'entreprise et sa recherche de bureaux, 66% des TPE et PME privilégient la location plutôt que l'achat (28%) et seulement 6% se portent sur les solutions temporaires.

Le point, fin octobre 2010, sur la nécessité pour les PME et PMI françaises, qui n'ont recours qu'à la croissance interne ou externe pour se développer à l'international, de se tourner vers les partenariats et les alliances stratégiques. Une stratégie qui peut leur permettre d'atteindre une taille critique et de répondre aux incertitudes liées au décloisonnement des activités qui multiplie le nombre de concurrents sur un marché. L'alliance permet également un partage d'expérience et représente une source d'innovation non négligeable.

Rencontre, en novembre 2010, avec Luc de Brabandère, directeur associé au Boston consulting group (BCG), qui revient sur les mécanismes de la pensée créatrice et ses enjeux. Les points abordés : la mise en pratique des idées ; la différence entre créativité et innovation ; l'impulsion hiérarchique pour favoriser la créativité ; les obstacles inconscients ; la créativité en France ; le temps libre au salariés ; l'apport du conseil ; les styles de management favorisant la créativité ; la génération Y.

Rencontre, fin 2010, avec Pierre Bellon, fondateur du spécialiste français de la restauration collective et des services de vie Sodexo, et Jacques Chaize, président de l'Association progrès du management (APM), qui reviennent sur le concept de management par le bon sens. Les points abordés : le management par le bon sens, la gestion du stress, la génération Y, le "common sense", les vertus de l'échec, la vocation de l'entreprise et ses valeurs, la mesure des progrès en management, la financiarisation de l'économie, le chômage des jeunes, les trois secrets de la construction de la Sodexo.

De manager dans les grands groupes à entrepreneur en hyper-croissance.

La jungle impitoyable de l'innovation.

Eclairage, en mars 2011, à partir des résultats d'une étude réalisée par Goodwill Management, qui, liant la diversité du capital humain à la performance économique de l'entreprise, met en avant que l'intégration dans les entreprises françaises des jeunes issus des quartiers difficiles n'est pas tant une bonne action et le résultat d'une politique de responsabilité sociale, qu'une stratégie de recrutement permettant de trouver des compétences, dans un contexte de guerre des talents. Illustration à travers quelques exemples de stratégies.

Rencontre, en mars 2011, avec Christophe Tardieu, directeur général adjoint de l'Opéra national de Paris, qui revient sur les spécificités de la gestion des établissements publics culturels, comme celle de l'Opéra, qui oscille subtilement entre pratiques publiques et entrepreneuriales. Les points abordés : le mécénat, l'événementiel, les produits financiers, l'audiovisuel, la concurrence mondiale, la programmation, la création des établissements publics, le dialogue social, la gestion des artistes, etc. Données chiffrées sur l'Opéra, dont le CA 2010 (54 millions d'euros).

Eclairage sur les bonnes perspectives de développement du rapid e-learning en France (marché de 144 millions d'euros en 2010), une branche du e-learning qui permet au formateur de produire rapidement des modules, et à l'apprenant de les assimiler dans des délais là aussi très courts. Le rapid e-learning devrait connaitre une croissance annuelle de 80 %, contre 25 % pour le e-learning. Le rapid e-learning apparaît comme une solution idéale pour l'apprentissage de savoirs précis et circonstanciés.