Ils sont noirs, jeunes, riches et influents. Le ZAR, boîte de nuit branchée, était leur QG. Un journaliste raconte cette génération post-apartheid à travers l'ultime soirée du ZAR.

Le projet de la ministre du Travail visant à augmenter les cotisations de retraite pour réduire la pauvreté des seniors suscite un tollé dans le pays. Dettes, climat, pensions, et quoi encore ? s'insurge une journaliste trentenaire.

Fuyant la morosité économique de l'archipel, la jeunesse se montre de plus en plus désireuse de travailler dans les pays émergents.

Deux sociologues turcs sont allés à la rencontre des étudiants et des intellectuels pakistanais. Selon eux, le pays pourrait s'inspirer de la Turquie en misant sur l'éducation publique contre le fanatisme religieux.

Jeunes, entrepreneurs, ils se disent victimes de l'héritage laissé par les babyboomers.

Ils vivent la violence et la peur au ventre, mais rêvent malgré tout de mode et de musique. Reportage.

Après les émeutes de l'été 2013, la mort d'un ado, tué par balle. Cette petite ville des Yvelines n'a pourtant pas le profil de la cité-ghetto. Squares verdoyants et solidarités de voisinage le disputent à la montée du communautarisme et à la tentation du djihad. Un équilibre si précaire.

Le hip-hop offre aux jeunes un moyen d'exprimer leurs revendications, leurs frustrations et leurs espoirs.

Selon une récente enquête de la Fondation pour l'innovation politique, les jeunes Français sont parmi les plus pessimistes de tous les Européens : ils n'ont pas confiance dans l'avenir et ils n'ont pas confiance non plus dans les autres et dans la société. En plus d'être pessimistes, ils apparaissent relativement conformistes. Comment comprendre cette situation ?

La fracture à l'intérieur de la jeunesse entre diplômés et non diplômés est plus importante que la coupure entre les générations. Elle est le résultat d'un système social élitiste où l'école et le marché du travail servent de machines à trier. Mis à l'écart, les jeunes non diplômés tendent à déserter les urnes et à renier les fondements de la démocratie.

Chômage, précarité, inégalité des chances, mal-être... Les nouvelles générations vivent moins bien que celles qui les ont précédées. Et, malgré les belles promesses, la société française persiste à ne pas s'en préoccuper. Pourtant, du travail à l'éducation, de la santé à la politique, des solutions existent : pour L'Express, des personnalités ouvrent des pistes. Agissons ! Sommaire. "Introduisons la spécialisation progressive à l'université". Un petit génie chez Pôle emploi. "Aidons-les à élaborer un projet fort". Un métier après l'échec. "Changer la mentalité de l'école".

Dans une société qui s'individualise, on convole en justes noces de plus en plus tardivement. Et en attendant d'avoir les moyens de fonder une famille, garçons et filles bricolent leur sexualité.