Ce pionnier de la réalité virtuelle évoque les mythes de la Silicon Valley, les flûtes de bergers et les raisons pour lesquelles nous devrions être payés pour utiliser les réseaux sociaux.

"En finir avec Eddy Bellegueule", récit d'une jeunesse homosexuelle en Picardie, a propulsé Edouard Louis sur le devant de la scène littéraire. Ce succès est aussi celui d'une amitié : celle qui l'unit aux sociologues Didier Eribon et Geoffroy de Lagasnerie. Considéré à l'étranger comme la relève de la "French Theory", le trio forme l'une des voix les plus virulentes de la gauche radicale. Et gare à celui qui les attaque. Ne cultivant ni la modestie ni la retenue, ces férus de réseaux sociaux savent se montrer féroces.

Sur les réseaux sociaux, nous distribuons des coeurs et des pouces levés qui valident des contenus publiés par les autres. Mais pourquoi, au juste ? Est-ce dans l'espoir de recevoir des like à notre tour ? Pour livrer une image flatteuse de nous-mêmes, façon portrait chinois ? Ou par simple panurgisme ? "Marianne" a mené l'enquête.

La libération de la parole peut avoir du bon. Mais que peuvent faire ceux qui sont accusés publiquement de viol, lorsque leurs victimes supposées, qui ont vingt ans pour le faire, ne déposent jamais plainte ? Voire, dans le cas de l’élu PCF Maxime Cochard, quand l’accusateur se donne la mort entre-temps...

Début 2021, l'actualité est riche sur le marché des plateformes de veille : Cision (société de logiciels et de services de relations publiques et de médias acquis, Etats-Unis) a annoncé le rachat de la plateforme de social media monitoring Brandwatch (une des plateformes leader de surveillance des médias sociaux, Royaume-Uni) tandis que Meltwater (Etats-Unis) a racheté Linkfluence (l'éditeur de la plateforme de social media monitoring Radarly lancée en France en 2006). La première opération permet à Cision de renforcer sa présence sur le marché du social media monitoring.

Les adolescents sont sensibles aux thèses complotistes. Mais, plutôt que de s’empresser d’en démontrer la fausseté, ne vaut-il pas mieux essayer de comprendre ce qui se joue ? Un professeur de philosophie a ouvert le dialogue avec ses élèves. Il apparaît alors que l’adhésion à ces thèses est une affaire de « rôle » que l’on se donne pour adopter une contenance, afin de se valoriser socialement. Il y entre une part de jeu, révélateur d’une quête de soi dans un monde aux autorités brouillées. Les thèses complotistes sont bien le produit de notre époque.

La consommation de divertissement, des livres aux podcasts en passant par la musique et la vidéo, a explosé dans le monde pendant les confinements dus à la crise du Covid-19 en 2020. Mais, alors que le temps libre se raréfie à nouveau en 2021, la question est de savoir lesquelles de ces habitudes nouvellement acquises perdureront. Explications et détails. Pas de chiffres. Article extrait de "The Economist".

Alors que jusqu'à présent les plateformes exploitaient gratuitement les contenus en ligne, le modèle est en train de changer en 2021. Bien que l'offre de contenu soit de plus en plus importante, chaque possesseur de téléphone pouvant être un créateur de contenu potentiel, les star-up et plateformes se livrent une concurrence acharnée pour l'obtenir en créant de nouveaux moyens pour que les créateurs puissent monétiser leur travail. Explications et détails. Pas de chiffres. Article extrait de "The Economist".

Sur Instagram, des « Brav-M » affichent leur goût pour la violence et les grosses motos, avec l’assentiment de leur hiérarchie.

Début 2022, cinq ans après sa création, le réseau social chinois TikTok, basé sur le partage de vidéos en ligne, a dépassé le milliard d'utilisateurs. Il a ainsi rattrapé Facebook en 2021 et dépassé WhatsApp et Instagram en termes de temps passé par les utilisateurs. A l'avenir, il pourrait bouleverser le modèle économique des réseaux sociaux en impactant la publicité, le commerce électronique, et la création de contenus. Mais il est confronté à plusieurs défis : quitter la Chine ou pas, investir dans la modération du contenu, etc. Explications et détails. Quelques données chiffrées.

Les Sdis utilisent les réseaux sociaux pour valoriser leurs métiers, diffuser des messages de prévention et améliorer la gestion des crises. Les réseaux sociaux permettent de l toucher la communauté des sapeurs-pompiers, mais aussi, et surtout, un public ciblé (les jeunes, les femmes, les institutions...). Facebook, LinkedIn et Twitter sont principalement utilisés, même si des Sdis s'essaient à Instagram, TikTok, YouTube ou Snapchat, afin de toucher les plus jeunes.