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Nous avons trouvé 10 résultat(s) pour votre recherche "Aucun mot clef"

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La 46e édition de Cinéma du réel affirmait une vision politique du documentaire en cherchant, à travers les films, à dépasser le sentiment d'impuissance.
Numéros de page :
pp.80-81

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Date parution pério
2023-10-01
"L'Arbre aux papillon d'or" n'est pas le genre de film à nous faire la leçon. Son prologue en recèle pourtant une, toute simple : parfois, il faut et il suffit de répondre au téléphone. Qui sait, Dieu en personne se trouve peut-être au bout du fil ? C'est en tout cas ce qu'imagine avec ironie le jeune Thien (Le Phong Vu), la tête enfoncée dans sa serviette, plus concentré sur les caresses érotiques prodiguées par une masseuse que sur les vibrations de son smartphone. En réalité, ses amis cherchent à le joindre pour une raison grave. Sommaire. L'appel du dehors, la critique du film.
Numéros de page :
pp.26-29

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Date parution pério
2023-11-01
Un label, en musique comme en cinéma, cela prend sens rétrospectivement, dans le temps de l'après-coup et de la collection : pour peu qu'elles soient rangées par maison d'édition, les piles de disques sur l'étagère se mettent à raconter une histoire, un goût, une cohérence qui déborde ce que les oeuvres ont d'unique.
Numéros de page :
pp.80-81

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Date parution pério
2024-04-01
Le plaisir éprouvé devant un film de Ryûsuke Hamaguchi tient beaucoup à l'imprévisibilité de ses récits, mus par le tourbillon des sentiments. Chose inédite : si les surprises sont nombreuses dans "Le mal n'existe pas", elles ne semblent pas venir des individus eux-mêmes mais d'une force qui les dépasse, échappée d'un tiroir que le cinéaste n'avait pas encore ouvert - la nature, le monde des non-humains, toutes ces vies menées à l'écart des villes et des chambres autour desquelles Hamaguchi, citadin des pieds à la tête, a l'habitude de broder ses épopées intimes. Sommaire.
Numéros de page :
pp.32-34, 36-39

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Clément Cogitore est né quelque part sur le front du Wakhan, dans une lumière entre chien et loup. Là où la folie rejoint la clairvoyance pour entrevoir Dieu dans les éclats des ténèbres... "Ni le Ciel ni la terre" (2015), film de guerre existentiel, révélait la puissance d'un talent inclassable et protéiforme. Plasticien de premier plan, cinéaste au talent inouï, Cogitore conduit le cinéma français hors des héritages téléguidés.
Numéros de page :
pp.30-32, 34-38

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Date parution pério
2022-12-01
Le Marché international du film classique, qui s'est déroulé du 18 au 21 octobre 2022 au Festival Lumière à Lyon, a été l'occasion de faire le point sur la situation des films dits "de patrimoine" en salle.
Numéros de page :
pp.69-70

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Date parution pério
2024-07-01
À Toulouse, du 30 mai au 30 juin 2024, Alain Guiraudie participait à la programmation du festival d'art contemporain le Nouveau Printemps, composant une édition à son image tout en souhaitant, selon ses mots, « lâcher la bride » aux artistes.
Numéros de page :
pp.75-76

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Date parution pério
2024-07-01
Quelques mois à peine séparent la ressortie des films de Sacha Guitry de ceux de Marcel Pagnol, et ce court intervalle fait résonner un de leurs plus saillants points communs. Outre une matrice théâtrale, leur cinéma partage, comme en chanson, une signature vocale immédiatement reconnaissable, qui envoûte et reste en tête : au 'blind test' du cinéma français des années 1930, l''assent' méridional des acteurs de Pagnol vaut bien la voix unique, trainante et nasillarde du Guitry-comédien.
Numéros de page :
pp.88-91

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Date parution pério
2024-10-01
La critique de cinéma n'a en général que faire d'objets aussi omniprésents et impalpables que la nuit. Régulièrement, pourtant, surgit sur les écrans un film qui se distingue (comme ce mois-ci, chacun à leur manière, "Miséricorde", "Anora" et "All We Imagine as Light") par sa manière de mettre en scène la nuit et d'en livrer une expérience inédite, absolument singulière. La nuit a toujours été un lieu de ressourcement poétique pour les cinéastes (« Suis-je en train de voir ce que je vois ? », écrivait Raoul Ruiz).
Numéros de page :
pp.10-13

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Date parution pério
2024-10-01
Parmi tous les chefs opérateurs du cinéma contemporain, Sayombhu Mukdeeprom a développé une sensibilité nocturne unique, soutenue par une résistance tenace au numérique : d'Apichatpong Weerasethakul à M. Night Shyamalan, les nuits filmées par le Thaïlandais hantent par leur pouvoir d'évocation.
Numéros de page :
pp.36-38