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Nous avons trouvé 22 résultat(s) pour votre recherche "Aucun mot clef"

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Date parution pério
2023-10-01
Pour son cinquantième film, Woody Allen s'est offert un cadeau en forme de renaissance. Le héros de son film précédent se fantasmait cinéaste européen ; Allen franchit le pas et tourne à Paris, en français et avec un casting entièrement français, un film sur le hasard, l'amour et le destin qui s'inscrit dans la lignée de "Match Point" et "L'Homme irrationnel". Il est possible que "Coup de chance" soit son dernier film, auquel cas ce seizième entretien avec le cinéaste pourrait être le dernier que publie "Positif". Comme il est possible que l'avenir nous réserve un nouveau coup de chance.
Numéros de page :
pp.34-41

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Date parution pério
2020-09-01
Nous suivons depuis longtemps avec intérêt l'oeuvre singulière d'Emmanuel Mouret, peintre des sentiments et du marivaudage, adepte d'un cinéma où la parole a une place prépondérante. S'il avait choisi d'adapter un récit de Diderot dans son film précédent (le remarquable "Mademoiselle de Joncquières"), Mouret revient avec "Les Choses qu'on dit, les choses qu'on fait" à un récit personnel et contemporain, sur lequel plane toujours l'esprit de la littérature du XVIIIe siècle. Ce film choral touchant et subtil était l'occasion rêvée d'un premier entretien.
Numéros de page :
pp.18-25

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Date parution pério
2020-10-01
Retour sur le cinéma les mois de juillet et août 2020 dans un contexte de crise sanitaire liée au Covid-19.
Numéros de page :
pp.52-55

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Date parution pério
2020-12-01
Avec "Les 2 Alfred", Bruno Podalydès consolide un style et une œuvre épris de fantaisie et de sens du rythme, de dialogues savoureux et de gags potaches . C'est aussi une comédie sentimentale pleine de talent. Le film synthétise enfin des tendances fortes de la comédie contemporaine à la française. Après "Effacer l'historique" de Benoît Delépine et Gustave Kervern (voir no 715, p. 22), puis "Adieu les cons" d'Albert Dupontel (voir no 716, p.
Numéros de page :
pp.86-111

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Date parution pério
2021-01-01
Avec "Soul", Pete Docter complète une sorte de trilogie de la maturité: au dernier voyage de M. Fredricksen ("Là-haut") et au cheminement vers l'adolescence de la jeune Riley ("Vice-versa") répond l'étude de cas d'un homme qui, parvenu au milieu de sa vie, a l'occasion d'examiner son âme. Ce nouveau film Pixar s'inscrit dans une démarche globale qui conduit le studio, après notamment "Coco" et "Toy Story 4", à aborder des sujets graves et métaphysiques, sans se départir de la science du rythme et du gag qui sont aussi sa marque de fabrique.
Numéros de page :
pp.6-11

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"Ca va, je n'ai pas tué de vrais de gens, que des flics": l'une des répliques mémorables de "Reservoir Dogs" (1992), de Quentin Tarantino, n'est distante de "Robocop" que de cinq ans.
Numéros de page :
pp.84-85

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C'est par un jour de soleil à Bruxelles que Woody Allen nous a reçus pour parler de son dernier film, presque son cinquantième. Venu de Madrid, avant de rejoindre Amsterdam, puis l'Italie, pour une tournée européenne, il avait donné, la veille, un concert au palais des Beaux-Arts (Bozar), dans une salle de 2 200 places pleine à craquer qui lui fit un accueil enthousiaste où l'on pouvait voir aussi une réponse chaleureuse au traitement ignominieux que lui réserve son propre pays.
Numéros de page :
pp.14-21

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Au sein de la tradition du film politique américain qui se fond presque avec les débuts du cinéma, émerge depuis quelques années un sous-genre consacré aux méandres politico-financiers inhérents aux excès du capitalisme.
Numéros de page :
pp.41-42

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Notre attachement à Todd Haynes s'est manifesté une nouvelle fois dans notre récente enquête auprès de nos rédacteurs sur les films les plus marquants de la dernière décennie et où il figurait parmi les cinéastes américains les plus cités. Tout en étant un metteur en scène en constant renouvellement et épris de recherches formelles, nous ne l'attendions pas avec "Dark Waters" dans un des genres les plus nobles et les plus courageux du cinéma hollywoodien.
Numéros de page :
pp.14-20

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Nous avions quitté Pierre Salvadori au terme d'un film doux-amer et poétique qui offrait à une comédienne de renom l'un des plus beaux rôles de sa carrière récente.
Numéros de page :
pp.16-18, 20-24

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"Hunger", "Shame", "12 Years a Slave" et à présent "Les Veuves" : à chaque film, un renouvellement d'inspiration, un changement de cap, un scénariste différent et de nouveaux défis. Steve McQueen, qui fut plasticien et vidéaste avant de venir au cinéma narratif, a rapidement obtenu une reconnaissance critique, puis celle de ses pairs, les Oscars célébrant l'épique 12 Years a Slave, il y a quatre ans.
Numéros de page :
pp.20-27

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Son deuxième film comme metteur en scène, "L'Homme fidèle", confirme les promesses entrevues dans "Les Deux Amis" et nous offre l'occasion d'une conversation à bâtons rompus avec Louis Garrel. Le comédien revient sur ses influences, sa cinéphilie, l'expérience acquise avec son père, et quelques-uns des derniers rôles marquants d'une carrière déjà riche : cette année, il a prêté ses traits à Godard et Robespierre... en attendant Dreyfus. Sommaire. L'homme à la valise, critique du film par Louise Dumas.
Numéros de page :
pp.20-28

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"Coco" remplit le cahier des charges d'une production Walt Disney, tout en le dynamitant par l'extension à une dimension intergénérationnelle qui fait fi de la mort terrestre. S'il est attendu que les enfants doivent se frotter à l'autorité parentale afin d'affirmer une part de leur identité, peu nombreux sont ceux qui ont l'occasion de se confronter à une génération au-delà de leurs grands-parents : Miguel, lui, aura affaire à ceux partis bien avant sa naissance.
Numéros de page :
pp.42-43

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"Une séparation", point de croix émotionnel sur fond de divorce et d'opposition de classes en Iran, a imprimé la perfection narrative d'Asghar Farhadi dans les esprits cinéphiles. Cinéaste des mécaniques sentimentales qui dérapent, il semble dorénavant s'en remettre au génie du lieu (comme feu Kiarostami ?) pour sortir des sentiers battus. La France avec "Le Passé", puis l'Espagne avec "Everybody Knows (Todos lo saben)" : voilà deux longs métrages où les souvenirs des étreintes brisées précipitent les drames intimes.
Numéros de page :
pp.8-14

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Si "Une certaine rencontre" n'observe pas le canevas habituel d'une "love story" hollywoodienne (les personnages se sont aimés et séparés avant que le rideau ne s'ouvre), il semble pourtant par instants vouloir basculer dans les codes de la comédie romantique : le couple que forment les deux personnages se découvrira au fil de la narration ; pour autant, les étapes par lesquelles ils passent restent ancrées dans un univers réaliste que vient renforcer le choix d'un tournage dans des extérieurs inattendus.
Numéros de page :
pp.90-91

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Dans une scène brillante de "Crimes et Délits", un producteur de télévision (Alan Alda), explique devant la caméra de Cliff Stern (Woody Allen), avec la fatuité de qui croit faire une découverte majeure, que la comédie peut se résumer ainsi : "Une tragédie, plus du temps." Il est peu probable, pourtant, que l'on puisse rire un jour de la tragédie que constitue l'effarant emballement médiatique autour d'une affaire vieille de 24 ans, classée sans suite en 1993, en l'absence de toute raison de poursuivre le prévenu, et réactivée ces dernières semaines dans le sillage de l'affaire Weinstein (autr
Numéros de page :
pp.70-72

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La réalisatrice américaine Kathryn Bigelow transpose avec brio ce qu'elle a appris dans le film d'action pour le mettre au service d'un discours social et politique. Elle réalise une plongée dans l'histoire difficile des Noirs Américains à travers les émeutes à Detroit en 1967. Un événement qui trouve encore de l'écho aujourd'hui car la population noire continue de clamer que "Black Lives Matter".
Numéros de page :
pp.36-37

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Si le film fait fi de l'écueil narratif consistant à boucler réellement la boucle avec le roman de Pierre Boulle et le film de Schaffner (... ), il distille quelques références à l'adresse des "happy few" familiers du récit originel.
Numéros de page :
p.48

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Bulletin : Positif 735
Date parution pério
2022-05-01
Durant les années d 'une enfance heureuse, en compagnie de son frère Bruno, il écrivait, mettait en scène et jouait de petits spectacles qui réjouissaient la famille. Depuis, Denis Podalydès n'a jamais changé de cap puisqu'aujourd'hui, bientôt sexagénaire, il est à la fois l'un de nos meilleurs comédiens, un écrivain remarquable et, à la Comédie-Française, un metteur en scène de talent submergé de projets.
Numéros de page :
pp.26-33

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Bulletin : Positif 737
Date parution pério
2022-07-01
Woody Allen, 86 ans, sort son cinquantième film. "Positif", 70 ans, s'entretient avec l'auteur de "Manhattan" pour la quinzième fois. En attendant le tournage à Paris de son prochain film, le cinéaste évoque dans nos pages son amour du cinéma européen. "Rifkin's Festival" sonne comme un retour aux sources : en suivant les fantasmes cinéphiles d'un personnage qui trouve dans les films de Fellini ou de Bunuel des échos au cours et au sens de sa vie, Allen propose une fantaisie douce-amère qui n'est pas sans évoquer ses oeuvres de jeunesse.
Numéros de page :
pp.108-115

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Bulletin : Positif 737
Date parution pério
2022-07-01
La critique du film "Elvis" de Baz Luhrmann par Grégory Valens .
Numéros de page :
pp.120-121

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Date parution pério
2024-06-01
Si le cinéma a, dès ses origines, pris le parti de l'extérieur, les frères Lumière plaçant leur caméra à la sortie de l'usine familiale ou sur le quai d'une gare, puis envoyant leurs opérateurs filmer des scènes de rue autour du globe, avant que les grands espaces ne soient magnifiés dans les westerns, les films historiques ou d'aventures, il a aussi, très vite, tiré parti des possibilités qu'offrent décors et objectifs pour transcender les intérieurs, des expérimentations de Méliès dans sa salle de spectacle aux comédies qui évitent le piège du théâtre filmé.
Numéros de page :
pp.96-116