Les dents sont indispensables à une bonne perception du goût (sucré, salé, amer) des aliments.

Nous savons qu'il existe plus de quatre saveurs (sucré, salé, acide, amer) et les physiologistes ont découvert plusieurs types de saveurs "amères".

Notre appareil gustatif, comme celui des rongeurs, comporterait des récepteurs des graisses qui renforceraient nos penchants pour cette matière énergétique.

Ce goût change avec la température de cuisson. Si vous voulez stocker les viandes et évitez ensuite le "goût du réchauffé", cuissez-les à haute température.

Construisons des plats par des jeux de combinaisons. On obtiendra ainsi des associations de structures et de goûts qui prolongeront le plaisir en bouche.

La qualité des fraises est mesurée par des réseaux de neurones. On détermine le goût des produits selon l'année, le terroir et la variété, ainsi que les effets réels de la congélation.

Les récipients d'argile modifient les mets en apportant des saveurs autrefois appréciées, ou en éliminant, par piégage, des molécules indésirables comme les tanins.

Venue des Andes, elle était devenue la reine du jardin. Mais, à force de manipuler les semences, la filière agricole lui a fait perdre sa saveur. Aujourd'hui, une poignée de cultivateurs tente de ressusciter les variétés paysannes. La bataille sera rude.

Lorsque nous avons faim, notre corps nous réclame des aliments, où il trouvera de l'énergie et des matériaux pour se maintenir en forme. Cela paraît très simple, mais pour répondre à ces besoins, on a l'embarras du choix !