Les jeunes sont moins accros à la voiture que leurs parents. Les constructeurs automobiles s'adaptent avec des offres de transport à la carte.

Fini les restaurants classiques hors de prix, vive la cuisine ambulante ! Désormais, les bons produits se démocratisent et les grands chefs eux-mêmes se mettent à la street food de qualité, explique ″The Wall Street Journal″.

Nécessaire transformation du modèle économique des constructeurs automobiles, confrontés aux nouveaux services offerts par l'économie numérique et changements de comportement des consommateurs qui ne souhaitent plus "posséder" de véhicules. L'objectif est désormais de devenir fournisseur de mobilité. Dans ce contexte, les fabricants traditionnels se rapprochent d'entreprises high-tech actives notamment dans la location de véhicules avec chauffeur, ou encore le partage de voitures, via le développement d'applications. Illustrations à travers quelques exemples.

Nécessaire évolution des activités des instituts de sondage en France face à l'évènement du big data. Ils doivent désormais intégrer toutes les sources d'information numériques qui sont à sa disposition pour mieux comprendre les comportements, les attitudes et les opinions des gens, qui sont tour à tour consommateurs, salariés, citoyens.

Place désormais déterminante de la confiance dans les échanges commerciaux, les recommandations et la réputation en ligne influant directement sur les comportements des consommateurs. A l'image d'Airbnb qui permet de loger dans les maisons de parfaits inconnus, ce qui est en soi une considérable preuve de confiance des deux côtés. Le site crée des relations personnelles mais s'appuie sur des avis de voyageurs pour que les deux parties restent honnêtes. Mais la confiance demeure une valeur fragile puisqu'elle peut être accordée à des gens qui ne la méritent pas.

Le début du XXIe siècle est marqué par l'avènement de nouveaux modèles économiques qui voient s'estomper les limites traditionnelles entre producteur, distributeur et consommateur. Dopée par la révolution numérique, l'économie du partage ou share economy est aujourd'hui en plein essor. Organisation de pair à pair, elle ne doit pas être toutefois confondue avec l'économie collaborative ou l'économie sociale et solidaire. Sommaire. L'économie du partage, une alternative au capitalisme?. Partager pour mieux consommer ?. Quelles promesses sur l'environnement ?.

Si nous n'avons rien à attendre des satrapes de la malbouffe industrielle, les pouvoirs locaux et les citoyens responsables peuvent, eux, relever ce défi vital.

Nous y avons pris goût il y a plus de 3 000 ans et nous ne pouvons plus nous en passer. Aujourd'hui, un Français en consomme en moyenne presque 100 g par jour.

Les données de l'ACPM, Alliance pour les chiffres de la presse et des médias, sont sans appel : 20 ans après le lancement des premiers titres de presse en ligne, 3 Français sur 4 s'informent sur des supports numériques, soit 40,1 millions de personnes mensuellement. Sans surprise, la lecture sur papier poursuit sa chute. Plus que 20% des Français s'informent en lisant un journal, contre 46% des France 6 ans auparavant. Un changement qui s'accompagne d'une évolution des modes de lecture.